Gérald Darmanin multiplie les polémiques et crée le malaise au sein du gouvernement

« Darmanin ne trouvera personne issu de la gauche pour défendre sa connerie… Il va se ridiculiser et donner à Pulvar le coup de pouce pour passer la barre des 10 % et se maintenir [au second tour des régionales] », assène un conseiller de l’exécutif.

           

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Perrine Chauvet
Bien sûr.
Tout le monde sait qu’il n’y a pas du tout de racisme dans la police
Tout le monde sait que non, lors du rassemblement policier devant l’assemblée nationale ou les députés examinaient un projet de loi concernant la justice, des syndicats policiers n’ont pas vilipendé la justice aux cris de « le problème de la police, c’est la justice »
Enfin, c’est ce que vous aimeriez croire ou faire croire.
On ne peut opposer justice et police, et ce n’est pas parcequ’ on prend en compte « des »comportements racistes dans la police, quand il y en a, que l’on considère l’ensemble des policiers comme racistes, et que l’on a pas de respect pour la police.


C'est le jeu des devinettes pour les ministres de l'intérieur dont l'une des spécificités semble d'être des criminels.

1 - J'ai eu comme mentor une des plus grandes figures de la pègre d'Aix en Provence que j'ai rencontré dans les cercles de poker.

2 - J'ai rendu des services en échange de rapports sexuels, parfois non consentis.

3 - J'ai été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour « complicité de détournement de fonds publics et recel » à deux ans de prison avec sursis, 75 000 euros d'amende et cinq ans d'interdiction d'exercer toute fonction publique.

4 - J'ai mis en place une milice paramilitaire chargée de surveiller et d'intimider mes opposants politiques. Cette section criminelle a notamment été reconnue coupable du meurtre d'un responsable de la section locale des Bouches-du-Rhône et cinq personnes de sa famille en 1981, la tuerie d'Auriol.