Pourquoi le sang menstruel fascine autant qu’il effraie

Journée mondiale de l’hygiène menstruelle. Tabou, miraculeux, impur ou dangereux : le sang menstruel des femmes n’a cessé d’alimenter les superstitions et de donner lieu à de sévères injonctions religieuses.

           

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Ce n'est pas pour autant un tabou !..... mais on va pas passer notre temps à parler des menstrues, à moins que cette indifférence paraisse être un avatar de plus à mettre sur le compte du perfide "patriarcat" et de sa misogynie tenace !. Nous en avons la preuve tous les jours, nous ne sommes pas que de purs esprits !. Nous devons aussi assumer notre part "d'organique" pas toujours très ragoutant, mais par pitié, n'en faisons pas pour autant un focus médiatique à la mode avec sa "journée mondiale"!.... A quand une secte tendance "new age" adoratrice du sang menstruel !....


Il ne fascine ni n'effraie... mais il est devenu un des sujets de discussion principaux des féministes de cette 4ième vague, l'intersectionnel... il ne se passe pas une semaine sans qu'il y ait des articles un peu partout sur combien c'est dur d'avoir ses règles etc...
Et à chaque fois je me redemande ce que nos mères, nos grands-mères et nos arrière-grands-mères, etc avaient comme qualités intrinsèques qui leur a permis de survivre à leurs menstruations que les jeunes femmes actuelles n'ont plus et qui justifie qu'elles se plaignent tout le temps et d'en faire tout un pataquès médiatique hebdomadairement alors qu'il s'agit d'un paramètre biologique que personne ne peut changer et qui existe depuis la nuit des temps et présent chez la majorité des mammifères? Et de me redemander en quoi les menstruations sont-elles différentes aujourd'hui par rapport à avant? en dehors du fait que les femmes occidentales ont la chance et le privilège d'être née aujourd'hui et ici et non quelque part dans le désert sub-saharien où les femmes font encore comme nos mères, grand-mères et arrières grand-mères ainsi que toutes les générations de femmes qui ont précédé, sans tampons, sans serviette hygiéniques, souvent même sans eau courante?
Et d'en conclure que ce féminisme 4.0, celui de la revanche, de la masculinisation, de l'auto-enlaidissement et de la vulgarité - a fait des femmes des pleurnicheuses chroniques à large spectre et non des femmes 'fortes et indépendantes' comme elles se targuent d'être...




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