L’Europe sort de l’ère des taux négatifs

Les taux augmentent régulièrement depuis six mois, interrogeant sur la soutenabilité des finances publiques et des entreprises ainsi que sur le risque d’une explosion de la bulle financière.

           

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Les taux d'intérêt reflètent les pressions inflationnistes de manière discontinue, tandis que toute proportion donnée peut augmenter et diminuer proportionnellement (b = a/c), et non organiquement (e=(FG | CD)) > 2). C'est-à-dire la tolérance à l'inflation entre les banques centrales et leur accord pour calculer la croissance constante de la masse monétaire en termes d'augmentation, et non d'appréciation de la valeur. Le plus petit dénominateur commun n'est pas le meilleur guide pour les investissements futurs. Par conséquent, la morale de conclusion de Keynes, selon laquelle une nation qui profite à ses retraités au détriment de ses enfants se retrouvera dans un problème politique, sonne plus vrai que l'apostasie soudaine de ces professionnels donnés.




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