1ºLe RN attise la division et les chienlits pour espérer ensuite récupérer des déçus et contestataires en tous genres pour qui les visées et ideologie politiques du RN sont alors peut importantes et plus repoussantes le temps d'une élection.... sauf que pour gagner une élection il faut rassembler au plus large du possible et pas diviser.... un calcul et une tactique forcément perdante et qui n'en fera jamais des militants et des adhèrents RN.... le RN ne s'est toujours que focalisé sur la présidentielle et les européennes... la première à avoir pleine concience de cela est MLP... le RN a d 'ailleurs moins de 30.000 adhérents.... la vraie vie ce n'est pas les réseaux sociaux ou ne s'expriment principalement ceux politico engagés... la France est composée d'une majorité de concitoyens , ni sympatisants ou adherants à un mouvement politique.... et personne ne tient la main de personne dans l'isoloir.... ce n"est pas de dire pour MLP " les français sont d'accord avec moi "qui fera que cela devienne vrai... il en faut beaucoup plus pour convaincre 10 millions d'électeurs qui lui ont faits défaut au second tour de 2017 pour faire mieux que le gars Macron....
2ºC'est désolant de songer à voter pour un parti pareil... Puis le RN au pouvoir, c'est open bar pour les radicalisés pour chauffer encore plus de monde contre le pays, et plus facilement. Mais vu l'actualité et la situation économique, je comprends que beaucoup de monde ait l'impression que la gauche, le centre ou la droite ont échoué, et envisagent de voter pour un parti contestataire. C'est vite oublier sa mentalité, à ce parti dont la ligne considère 6 à 7 millions de citoyens comme des sous-citoyens, mais le RN ne serait probablement pas si haut s'il y avait moins de problèmes dans le pays. On peut surtout blâmer Mitterrand d'un côté, et Sarkozy de l'autre pour cela.
3ºy a du changement au RN
Eric Dureux est candidat aux élections départementales des 20 et 27 juin pochains. Il porte les couleurs du Rassemblement national. L'homme a été condamné pour "agression sexuelle imposée à mineur de moins de 15 ans".
A l'époque de son procès, il avait 49 ans. Il a été jugé à huis clos le 30 janvier 2017 pour "agression sexuelle imposée à un mineur de moins de 15 ans". Des faits commis dans la petite commune de Matton-et-Clémency, près de Carignan. Absent à l'audience, la décision avait été mise en délibéré au lundi 13 mars de la même année. Le tribunal l'avait finalement condamné à une peine de 8 mois de prison avec sursis et à une inscription au FIJAIS, le fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles.