Un pied en ville, un pied à la campagne : la vague des « bi-résidentiels » dans les régions françaises

La double résidentialité ne date pas d’hier mais, avec le Covid-19 et ses confinements à répétition, elle séduit toujours davantage d’urbains. Surtout des Franciliens, qui cherchent à combiner emploi attractif et vie citadine avec espace et verdure.

           

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1ºCe serait bien que beaucoup lisent l’article avant de commenter. 1-ce ne sont pas des “Bourges”. Eux ils ont déjà des résidences secondaires depuis un moment. 2-il s’agit de jeunes actif moins de 35 ans qui habitent désormais autour de Paris. Certains ont gardé un pied à terre et d’autres profitent du télétravail pour venir 1,2 ou 3 à Paris. La démarche n’est pas nouvelle.3- les exemples ici montent surtout qu’ils dynamisent des villages et le marché immobilier local et du coup le foncier local est valorisé. Les exemples (entre 100000 et 200000 euros) ne sont pas chers pour des actifs parisiens.