1ºIl se plante à fond. Les français n ont jamais voulu des anglais qui se sont incrustés en Europe avec un référendum chez eux. Ils ont toujours fonctionné avec les USA et un peu avec l Europe. Genre ils jouent les espions pour avoir des infos intéressantes. Et ils ont toujours demandé des lois spéciales pour eux, comme la livre sterling alors que toute l Europe passait à l'euro.pareil pour le poisson et tout le reste. Alors que sur le continent européen, tout les pays parviennent à se mettre d'accord sur tous les sujets. Italiens, allemand, Autrichiens, espagnols et tous les autres ont pour base historique la religion chrétienne, des rois et des reines qui se sont mariés entre eux, unissant les pays, et un état de droit. On est un continent historique, avec une histoire commune. Bref, on est les mêmes avec une langue différente.
2ºPourquoi présenter comme allant de soi que le Brexit est " une régression qui recrée des barrières oubliées entre les acteurs économiques et entre les citoyens" en faisant fi de la vision britannique pour laquelle le Brexit est le recouvrement d'une liberté oubliée de contrôler son économie et ses frontières? Même si cette idée n'est pas partagée par tous les britanniques.
On hésite toujours devant ce genre de propositions à les interpréter comme des injonctions à penser de telle façon et de la manipulation mentale ou comme de la simple étroitesse de vue voire de la prétention de journaliste qui n'imagine pas possible un autre point de vue que le sien.
Surtout lorsqu'on le voit introduire le terme "xénophobie" pour désigner de nouvelles règles de contrôle communes à tous les pays qui n'ont pas d'accords spécifiques. Essayez d'aller travailler sans visas en Australie, au Canada ou aux USA! Sont-ils xénophobes pour autant?