Covid-19 : le grand relâchement après la première injection

De nombreux primo-injectés cessent de respecter les gestes barrières avant même de recevoir leur deuxième dose. Pourtant, seuls 20 % des Français étant totalement vaccinés, des médecins insistent sur la nécessité de ne pas baisser la garde.

           

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1ºInterrogeons la croyance dans la science ...
La science ne peut avancer de vérité absolue, tout au plus peut elle élaborer des théories à partir de l'état actuel des connaissances, elle est donc relative et évolutive ; ceci est une bonne chose, la science demeure dynamique et les erreurs sont généralement sources de progrès.
Citons celle-ci par exemple :
Sir Isaac Newton est connu pour ses nombreux ouvrages en physique, mathématiques et en astronomie. Mais figurez-vous qu’un étudiant de l’université de Chicago a découvert une erreur de calcul dans l’une des équations du scientifique … 300 ans après ! En effet, Robert Garisto a remarqué une erreur dans l’équation de Newton permettant de connaître la masse de la Terre. Newton avait utilisé 10,5 secondes dans son calcul au lieu de 11. Quand Garisto découvre cela, il pensait que son professeur avait mis cette erreur de nombre intentionnellement. Mais pas du tout ! Pendant 300 ans, des scientifiques et mathématiciens ont étudié méticuleusement cette équation sans jamais se rendre compte de cette erreur.
Le souci c'est que la plupart des scientifiques ne font pas précéder leurs allégations ou préconisations par la précaution oratoire "dans l'état actuel des connaissances ...", ce faisant ils entretiennent dans le grand public une croyance aveugle, faussement rationnelle et presque chamanique dans les pouvoirs de la science à résoudre nos difficultés ou améliorer nos conditions de vie.
A l'heure où tant de médecins, épidémiologiques, préconisent la vaccination à tout va, rappelons-nous que ce vaccin est encore en phase de test, qu'on n'a aucun recul sur les effets à moyen et long terme, que les laboratoires sont sous contrôle de puissants lobby, qu'on a encore en mémoire le souvenir dramatique du médiator ou du distilbène validés et prescrits par les "scientifiques" pendant des décennies.
Restons donc vigilants et critiques devant les discours et préconisations assénés à longueur de journée ; le vaccin, si vaccin il y a, doit demeurer un choix libre et éclairé et non un marquage d'aliénation.