Justin Trudeau appelle à lutter contre le fléau du racisme au Canada

Trois générations de la famille Afzaal, d’origine pakistanaise, un couple quadragénaire, leur fille de 15 ans et sa grand-mère de 74 ans sont morts après avoir été volontairement percutés par un pick-up, dimanche.

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/10160090101062590

Il faut appeler le chien un chien et le chat un chat. Ce n’est pas du racisme mais c’est du terrorisme. Tuer un chretien à cause de sa religion par un musulman c’est classé comme acte terroriste mais tuer un musulman par un chrétien à cause de ses convictions c’est du racisme, de l’islamophobie, du supremacisme et c’est du bla bla. Inventer tout un dictionnaire de mots juste pour éviter de coller le mot terrorisme à un acte commit contre un musulman. C’est de la faut thèse et du n’importe quoi.
Peut-être les mots terrorisme et terroriste sont rendus une Marque déposée propre aux musulmans dans l’organisme international de droit d’auteur et marques déposées


Alain Jakubowicz, Président de la Licra (2010-2017) - 11 avril 2016 journal Libération : "Lutter contre le racisme, c’est défendre l’universalité de nos valeurs, l’unité du genre humain. A l’exact opposé de l’offensive antirépublicaine actuellement à l’œuvre. Il y a encore trente ans, la cartographie de la haine était simple à établir : le racisme et l’antisémitisme étaient d’extrême droite. D’un côté, les héritiers de la Résistance, et de l’autre, ceux de Vichy. L’antiracisme avait son propre «mur de Berlin». Depuis, le monde a changé, les murs sont tombés, les fronts se sont multipliés. Le mouvement antiraciste est resté figé dans des réflexes et des pratiques datées. Faute d’avoir mesuré ces changements profonds, il a manqué la mise à jour de son logiciel et son adaptation aux nouvelles frontières de la haine. A contrario de ses adversaires, il n’a pas su s’adapter à la révolution numérique. Il a tardé à comprendre que l’extrême droite n’avait plus le monopole du racisme et de l’antisémitisme et a laissé le champ libre à l’expression de nouvelles radicalités. Ce retard à l’allumage tient aussi à la mystification, qui s’est présentée à l’opinion sous les traits d’un antiracisme adapté aux identités plurielles - issues de l’immigration, marquées par la mémoire de l’esclavage, la colonisation - et affilié à la gauche. C’est sous ce masque pervers que la haine a, par effraction, trouvé refuge.Le racisme et l’antisémitisme ont changé. Face à nous désormais, des cumulards de la haine des juifs, des homosexuels, des Blancs et, d’une certaine manière, des femmes. Désigner «le Blanc» comme symbole dominateur d’un prétendu «racisme d’Etat» qui sévirait en France, c’est être raciste. Quitter une réunion féministe en raison du trop grand nombre «de meufs blanches et assimilationnistes», c’est aussi être raciste. Revendiquer le communautarisme et accueillir à bras ouverts le fondamentalisme religieux pour «guérir la France de l’islamophobie», c’est offrir à l’extrême droite un boulevard pour promouvoir une conception contre-nature de la laïcité..." https://www.liberation.fr...aciste_1445434/




+