1ºAh l’affaire du soufflet jupitérien. Donc un candidat à l’élection présidentielle est en campagne avec tous les moyens dont il dispose du fait de sa fonction, il choisit volontairement de s’affranchir du dispositif de sécurité qui coûte pourtant « un pognon de dingue » au contribuable pour se voir giflé par un ado attardé dont on essaie de faire croire que l’oeuvre de Charles Maurras serait le livre de chevet … A part ça les agressions contre les élus locaux connaissent une hausse exponentielle et là on parle de personnes sans protection, roués de coup dans l’exercice de leurs fonctions.