1ºLe journal Le Monde enfourche une fois de plus son sujet favori Israël. Et en parlant de ce pays il dit « démocratie sécuritaire » eh bien je vais faire une confidence j’aimerais que la France devienne une démocratie sécuritaire ce qui permettrait d’empêcher le flot d’immigrants clandestins de franchir nos frontières. Pour en revenir aux israéliens je trouve que ce peuple confronté à une crise politique majeure s’en sort très bien et, en dépit de quelques soubresauts, la démocratie est la grande gagnante et les israéliens, une fois encore ont démontré par leur dynamisme et leur civisme qu’ils étaient prêts à affronter tous les obstacles.
2ºencore un article négatif et mensonger sur Israël dans le Monde ..et toujours rien sur la faillite économique ou démocratique des Pays qui l entourent.. rien sur le Liban qui plonge dans la famine a cause de la corruption de ses dirigeants, rien sur la Syrie et le sort de ses survivants, rien sur l Irak ou les Chrétiens d Orient ont été pratiquement éliminés, assassinés, génocides, rien sur l Egypte et son régime dictatorial , rien sur la Jordanie ou pourtant le régime du Roi vacille, rien sur Abbas multi milliardaire en dollars grâce a l argent qu il détourne des aides européennes ou américaines,,,,, non le Monde est obsédé par Israël et entend prouver 4 ou 5 fois par jour que c est le pire Pays de la planète..
Nous, nous aimerions dire au Monde, que nous le saluons de tous nos majeurs, et que nous avons bien l intention de prospérer d avantage...
3ºLe Proche Orient vu par Pessoa
"J'ai rencontré aujourd'hui dans la rue, séparément, deux de mes amis qui s'étaient brouillés l'un avec l'autre. Chacun d'eux me conta la raison pour laquelle ils s'étaient brouillés. Chacun d'eux me dit la vérité. Chacun m'exposa ses raisons. Tous deux avaient raison, entièrement raison. Non pas que l'un ait vu une chose, et l'autre une autre, ou que l'un ait vu un aspect des choses et l'autre un aspect différent. Non: chacun d'eux voyait une chose différente et chacun d'eux, par conséquent, avait raison.
Je suis resté perplexe devant cette double existence de la vérité."
Fernando Pessoa