Covid-19 : le marathon de Pékin reporté sine die

La Chine a enregistré lundi 39 nouveaux cas, mettant à l’épreuve sa politique de « tolérance zéro » à l’égard du coronavirus.

           

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Vaccination: le piège se referme sur les Français
Allez, même si ces produits qu'on s'acharne à nous injecter sont encore en phase de test, même si nous ne savons rien sur leurs effets secondaires à long terme, même si ni le gouvernement ni les laboratoires n'acceptent d'endosser la responsabilité en cas de problème grave, même si l'industrie pharmaceutique réalise des bénéfices colossaux grâce à la crise, on essaie d'oublier tout cela. On fait l'effort d'accepter une petite piqûre et puis on n'en parle plus. L'essentiel est de ne plus rester confiné et d'obtenir rapidement le passe-sanitaire, ce sésame permettant de circuler librement, de tomber les masques, de se rendre dans les restaurants, d'avoir accès à tous les loisirs possibles. Bref: de retrouver notre chère liberté. C'est, du moins, ce que devaient penser un grand nombre de Français, visiblement.
Or au fil des semaines, ces mêmes Français s'aperçoivent que la réalité n'est pas à la hauteur des espérances: les masques ne sont pas tombés, les vaccinés peuvent toujours contracter le virus et le transmettre, ils peuvent se retrouver à l'hôpital pour 20% d'entre-eux. Malgré le passe-sanitaire, ils doivent toujours réaliser des test PCR pour se rendre dans les hôpitaux par exemple...Les vaccins se révélant beaucoup moins efficaces que prévu, il faudra supporter une troisième dose, on parle même déjà d'une quatrième. Puis une cinquième, puis une tous les six mois ? Et pourquoi pas une perfusion, tant qu'on y est ?
Bien que le virus n'ait pas d'effet chez les jeunes, il faut vacciner les plus de 12 ans. Poursuivant cette folle frénésie, on peut imaginer qu'il faudra aussi vacciner les enfants de 2 ans qui, depuis le règne Macron, subissent déjà 11 vaccins différents (au lieu de 2 précédemment) !
Ainsi les vaccinés se trouvent pris au piège. Et faute d'avoir la possibilité de s'en prendre aux organisateurs de cette comédie, ils s'en prennent à leurs voisins, à leurs amis, à leur famille même, à tous ceux qui ont résisté à la manipulation organisée. D'intolérants, les vaccinés en deviennent même méchants.
Le gouvernement peut décider à tout moment de changer les règles à sa guise, quel que soit le motif, en refusant le passe-sanitaire à ceux qui n'auront pas tous les rappels jugés nécessaires. Aujourd'hui, c'est le covid. Mais demain, combien de variants ? Combien d'autres virus ? Combien d'autres raisons d'instaurer des contrôles et de limiter nos libertés ?Le piège se referme...
Un laissez-passer qui, d'ailleurs, risque fort d'entrer dans le droit commun comme l'a proposé la députée macronnarde Anne Genetet. C'est à dire qu'il fera partie de notre vie quotidienne, pour toujours. Le terrain est bien préparé: l'exception devient la règle.
Certes, la forme du passe-sanitaire évoluera probablement : le système actuel étant assez lourd, la version moderne pourra se réduire à une petite puce électronique. Une puce qui serait introduite sous la peau des Français, comme l'a prédit le «parrain» de Macron, Jacques Attali.
Bien sûr, certains préféreront continuer à croire que nous sommes en démocratie et pas dans un film de science-fiction. Qu'ils se méfient: à l'instar des dirigeants Chinois, le rêve de ceux qui tiennent les ficelles du monde est le contrôle total de la population. Pour mieux la réprimer au besoin.
Etant donné la facilité avec laquelle le gouvernement est parvenu à nous soumettre grâce à la peur lors de cette crise sanitaire, gageons qu'il n'aura aucune difficulté à nous injecter non pas un vaccin, mais cette puce électronique le moment venu.
Nos élites peuvent envisager l'avenir avec sérénité. Nos enfants beaucoup moins, par contre. Allez, vous pouvez allumer la télé, c'est l'heure des info...




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