1ºAvec leurs diplômes bidons (souvent plus ou moins frauduleusement obtenus d'ailleurs) de pays sous développés, ces "docteurs" n'ont absolument pas le niveau. C'est une honte. Ils parlent à peine français et maltraitent les anciens. Je l'ai vu de mes yeux à Saint Louis (aphp) et à Eaubonne.
Lorsque j'ai par malheur affaire à eux (ou pour mes proches), je précise bien que je suis avocat et que j'ai l'assignation facile. Sans surprise ils me ramènent toujours un vrai médecin ensuite et s'éclipsent.
Mais imaginez pour ceux qui n'ont pas les moyens de se défendre ? Eh bien ils se font abuser par ses charlatans. Et il faudrait en plus se prosterner devant ces escrocs? Je rêve!
2ºparce que c'est le meilleur systeme de sante du monde, c'est a dire :
- celui ou il manque des medecins et il faut 6 mois pour voir un specialiste,
- celui qui s'appuie sur les internes payés au lance pierre pour des gardes de 24h a 48h ...
- celui qui s'appuie sur des medecins a diplome etranger mais qu'il faut pas trop regulariser car on veut bien combler les trous mais on ne veut pas de concurrence et on veut payer pas trop cher
c'est tellement un systeme honnete et humaniste que c'est le meilleur systeme de santé du monde mais bizarrement jamais copié
3ºAurélia Joubert ils ont bien raison ces étudiants de privilégier un confort de vie , ils en ont bavé pendant 8-10 ans dans leurs études de médecine , ils sont déjà payés une misère en tant qu'interne et ils devraient aller s'enterrer dans un trou perdu à la fin de leurs études? et quid de leur conjoint ? ami ? ils ou elles devraient démissionner de leurs postes pour suivre leur conjoint(e) ? et comment retrouver du boulot dans un endroit peu attractif ? Voilà à quoi songe le gouvernement. Je comprends la difficulté d'attirer de jeunes médecins dans les endroits dépourvus de services médicaux, mais la seule solution pour y remédier est d'obliger ou de contraindre ces jeunes médecins à aller dans des endroits non souhaités. Ne pas oublier qu'un médecin généraliste n'est pas fonctionnaire. Comment attirer les jeunes médecins sans les contraindre ? c'est un long débat.
4ºXana Roux Kay « diplôme plus ou moins sérieux », « ne maîtrisent ni la langue, ni les codes » .. Bien que je vous rejoigne sur certains points, je pense que votre discours mériterait d’être un peu plus nuancé. Une langue s’apprend, les codes d’une société aussi. J’ai un infini respect à titre personnel pour ceux qui ont osé sortir de leur zone de confort et qui doivent constamment s’adapter, rester avide d’apprendre. Souvent, ceux qui viennent avec des diplômes étrangers, accumulent les spécialités, les formations. Et c’est tout à leur honneur ! En plus de l’aspect intégration, ils doivent en plus faire face à des détracteurs et être moins bien payés que leurs pairs. Ne leur compliquons pas les choses: ils repartiront encore une fois s’ils ne trouvent pas leur compte.
5ºDanielle Lechat La loi du 12 novembre 1968 d'orientation de l'enseignement supérieur dite loi Edgar Faure, sous présidence de De Gaulle, a été modifiée le 12 juillet 1971 par la Loi n°71-557 ART. 1 A (parution au JORF du 13 juillet 197.) Cet aménagement de certaines dispositions de la loi Faure a permis aux ministres de l’Éducation et de la Santé d’arrêter le nombre des étudiants de première année du premier cycle des études médicales ou odontologiques admis à entrer en deuxième année du premier cycle.
La modification de 1971 a été votée sous la présidence de Pompidou et le gouvernement de Chaban-Delmas.