1ºArielle Digoy Trouver une faille ? Mais si il n'y en avait qu'une encore.. Cette logique est une véritable passoire. J'étais sarcastique dans mon 1er commentaire au cas où ça t'aurait échappé.
Je prends simplement ce dont j'ai besoin sans dicter aux autres quoi faire ou comment consommer, en arguant "les pauvres animaux" alors que clairement ceux qui font la promotion du Vegan Club ne nuisent pas moins que les omnivores, simplement ils ADORENT venir faire la morale aux autres parce que ça leur donne un but, un hobby et une raison de mieux dormir aussi mensongère soit-elle.
Et bien consomme donc ta vitamine B12 en pilules, et laisse ceux que ça n'intéresse pas profiter d'un steak de koala
2ºIl ni a vraiment que la baisse de la production qui pose un problème ?
Peut-être serait'il temps de s'inquiéter sur le fait que ce virus est toujours actif et que contrairement aux autres années les hausses de températures n'ont pas l 'air de l 'impacter .
Toutes ces exploitations survivent sous perfusion de l'état et de l'UE , sans ces nombreuses aides ils seraient beaucoup a mettre la clef sous la porte .
Persister dans une direction qui n'est plus viable ni pour l'agriculteur.euse qui n'arrive même pas à ce dégager un salaire ,qui est obliger de passer son temps à chercher des solutions pour y arriver , les zoonoses, et des tas d'autres problèmes , ca serait peut-etre le moment de penser à faire une reconversion .
Pourquoi pas dans un autre domaine de l 'agriculture ,ou changer totalement de parcours .
De toute façon la filière animal est une filière qui génèrent d'importants dégâts environnementaux, de souffrance animale.
#teamanimal #veganisonsnosvies .
3ºNicolas Shawn "pas comme on l'entend" ne signifie pas "comme ça vous arrange" Il n’y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Dire qu'un pied de tomates souffre de la chaleur signifie qu'il se déshydrate et risque de dépérir pas qu'il a mal et pleure en silence ce faux argument pour décrédibiliser la souffrance animale est connuet non pertinent. Tuer un animal sans besoin vital est un acte cruel, manger 4 pavés de boeuf ne regarde pas que celui qui les mange mais surtout l'animal qu'on a privé de vie par égoisme.....Trouvez meilleur argument que le cri de la carotte bonne soirée
4ºNicolas Shawn oui enfin si tu vois pas la différence entre une carrote et un être vivant qui possède le même système nerveux que toi, un cœur des veines ....je suis vraiment désolée pour toi....
le cri de la carotte c est pas un peu dépassé !!!
Mais bravo par tes arguments catastrophiques tu viens de mettre ton système cognitif au même niveau qu une carrotte ....
Ah...et pour info un vegan épargne une quantité astronomique de végétaux...les animaux ne se nourrissent pas d air, et quand on sait que parmi les mammifères 60% sont des animaux d’élevage pour 36% d homme....quelques neurones suffisent à comprendre l aberration de ton com...
5ºChez les oiseaux, les virus de l’IA sont excrétés dans les fèces et les sécrétions respiratoires. Ils peuvent tous se propager par contact direct avec les sécrétions d’oiseaux infectés, en particulier par les matières fécales ou par les aliments et l’eau contaminés. En raison de la nature résistante des virus de l’IA, y compris de leur capacité à survivre pendant de longues périodes lorsque les températures sont basses, ils peuvent également être transportés sur du matériel agricole et se propager facilement d’une ferme à l’autre.
Risque pour la santé publique
Les personnes qui sont en contact étroit avec des oiseaux infectés risquent de contracter la grippe aviaire.
Alors que de nombreux cas humains sont limités à la conjonctivite ou à une maladie respiratoire légère, certains virus ont tendance à provoquer des maladies graves.
En raison de la circulation continue de diverses souches (par exemple H5N1, H5N2, H5N8, H7N8), les flambées de grippe aviaire continuent d’être un problème de santé publique mondial. Les objectifs de l’OIE de promouvoir la transparence et la compréhension de la situation mondiale des maladies animales restent une priorité de notre organisation face à cette situation, afin de protéger la santé publique et de garantir la sécurité du commerce mondial des animaux et des produits animaux
Les concentrations d'animaux sont les vecteurs directs de ces agents pathogènes, nous ne devons pas oublier que ces virus viennent de la faune sauvage.
L'urbanisation toujours plus importante réduisant toujours plus la frontière entre nous et la faune sauvage.
Les enclos de chasse concentrant les animaux et les chasseurs qui sont en contact direct avec sont aussi des vecteurs de ces virus et autre .
Nous avons tellement négligés l'habitat et la faune sauvage que nous en subissons les retombées, nous ne pouvons que nous en prendre à nous même.
Les exploitations intensives ou réduites sont tout autant les vecteurs de ces agents zoonotiques.
La première responsable est l'alimentation carnée.
Tant que toutes ces filières existeront les virus et le risque de les attraper et de les voir muter seront plus que probable.