Crimes nazis du Struthof : « L’université de Strasbourg clamait depuis trente ans qu’elle ne détenait plus de restes des victimes, mais c’était faux »

Camp du Struthof, en Alsace | C’est l’histoire « d’un des crimes les plus abominables jamais commis par des médecins » : 86 personnes juives gazées en août 1943 à la seule fin de constituer une collection anatomique.

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/10160771561052590

Qd j'avais 18 ans, j'étais en vacances durant l'été 1971, chez mon correspondant allemand à Furstenfelbruck, près de Munich et du Starnbergsee.
Sa maman, nous avait conduit à une visite du camp de Dachau... Reconstitution exacte du site, photos d'horreur à volonté, casemates exposées au voyeurisme de l' horreur bestiale humaine... Le plus choquant pour moi, ce fut de voir la manière dont le personnel du musée exposait tout cela dans un vocabulaire proche du neutralisme...
L'année suivante, lors des jeux olympiques de Munich, 13 athlètes israéliens ont été assassinés à l'aéroport militaire de Furstenfelbruck par Septembre Noir... Il y a parfois dans nos souvenirs, des périodes... Noires... Ou Brunes...


Eliko Presto
Non mais vous avez lu votre article ????
Ces expérimentations n’ ont pas pu servir à la science
Allez comme je suis gentille je vous le mets et si vous ne comprenez pas tt demandez

« Scientifiquement, ces expériences n'apprirent rien que l'on ne sût déjà sur l'hypothermie, la mescaline, la consommation d'eau salée, l'évolution des plaies ouvertes ou le déroulement des maladies infectieuses (jusqu'à la mort). En ce qui concerne l'hypothermie, ces expériences ont pu aboutir aussi à des conclusions qui se sont révélées fausses »

« En 1990, une nouvelle analyse est publiée ; elle montre, outre les aspects criminels (et pas simplement violation de règles éthiques), que ces travaux n'ont pas de crédibilité scientifique, que les conclusions ne sont pas en accord avec la présentation des données[18]. D'un point de vue méthodologique, ces expériences, sans protocole clair, ne sont pas « reproductibles », et d'un point de vue statistique, elles ne sont pas représentatives (absence de définition, catégories non précisées, données inconsistantes, sujets en grande souffrance physique et mentale). Il y aurait enfin des pratiques frauduleuses (falsification ou de fabrication de données »

J’ ai l’ impression que vous avez un petit souci de compréhension

Quand on fait une recherche on suit un protocole hein …


Eliko Presto En 1990, une nouvelle analyse est publiée ; elle montre, outre les aspects criminels (et pas simplement violation de règles éthiques), que ces travaux n'ont pas de crédibilité scientifique, que les conclusions ne sont pas en accord avec la présentation des données18. D'un point de vue méthodologique, ces expériences, sans protocole clair, ne sont pas « reproductibles », et d'un point de vue statistique, elles ne sont pas représentatives (absence de définition, catégories non précisées, données inconsistantes, sujets en grande souffrance physique et mentale). Il y aurait enfin des pratiques frauduleuses (falsification ou de fabrication de données).
Source ..... Wikipédia
C'est bien aussi de lire ce que l'on présente comme source


en fait l'esclavage arabo musulman était encore plus terrible puisque 80% des hommes esclaves mourraint du fait de l'opération d'émasculation qui suivait l'achat de chaque esclave non musulman.

Si on parle tant de l'esclavege des noirs par les blancs, c'est que contrairement àà l'esclavage des noirs par les noirs 60 à 80% du marché, l'esclavage arabo musulman 10 à 30% du marché, l'esclavage blanc correspondant à seulemnt 10% du marché, traitait assez bien les esclaves. En effet l'esclavage blanc traitaient ses esclaves comme n'importes quel travailleurs pauvre du pauperisme, servantes, employé de maison etc. comme on peut le voir dans les romans du 19eme siècle. Donc comme ils étaient bien traité poiur des esclaves, ils ont survécus et ont pu avoir des descendants contrairement aux 90% restants du marché.


je n'essaye pas de comparer j'essaye d'ouvrir les yeux sur des pires crimes Les différentes expériences de Mengele
Sa valeur principale : « Ne jamais s’abandonner à un sentiment humain. La pitié est une faiblesse. […] Injecter, mesurer, saigner ; découper, assassiner, autopsier : à sa disposition, un zoo d’enfants cobayes afin de percer les secrets de la gémellité, de produire des surhommes et de rendre les Allemandes plus fécondes pour peupler un jour de paysans soldats les territoires de l’Est arrachés aux Slaves et défendre la race nordique. » (p.19-20)

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Analyse de la ressemblance des jumeaux au niveau des yeux

Les différentes expériences réalisées sur les jumeaux étaient violentes, cruelles :

« Une ancienne gardienne d’un bloc de jumeaux tsiganes se souvient. Après avoir injecté le sperme d’un jumeau dans les entrailles d’une jumelle dans l’espoir que la jeune femme donne naissance à une paire de nourrissons, Mengele, constatant qu’elle ne porte qu’un enfant, lui a arraché le bébé de l’utérus et l’a jeté au feu. » (p.222)

Auschwitz
Expérience 2

Le panneau «Arbeit macht frei» du camp

Il a pratiqué des transfusions en grande quantité de sang entre les jumeaux, il a disséqué des corps, il a transféré des organes, il a fait des tentatives de siamois en cousant deux jumeaux et il a essayé de pratiquer une dépigmentation des yeux en bleu.

Dans la barque d’expérimentation, « on effectue sur les nains et les jumeaux tous les examens médicaux que le corps humain est capable de supporter. Des prises de sang, des ponctions lombaires, des échanges de sang entre jumeaux, d’innombrables examens fatigants, déprimants, in vivo ». Pour l’étude comparative des organes, « les jumeaux doivent mourir en même temps. Aussi meurent-ils dans une des baraques du camp d’Auschwitz, dans le quartier B, par la main du docteur Mengele. Il leur injecte des piqûres de chloroforme dans le cœur. Les organes prélevés, munis du tampon « matériel de guerre urgent », sont envoyés à l’Institut Kaiser Wilhelm de Berlin que dirige le professeur Von Verschuer. » (p.115) Mengele lui « envoyait des échantillons de sang, des yeux vairons et des squelettes d’enfants […] Les deux médecins partageaient le même enthousiasme pour le nazisme. » (p.155)

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Différentes images sur les expériences réalisées par le docteur Mengele

Ville brésilienne où Mengele a continué ses expériences
CandidoGodoi, ville brésilienne près de la frontière avec l’Argentine: 7000 habitants et 1/5 des naissances sont des jumeaux où les traits aryens dominent : c’est-à-dire qu’ils sont blonds aux yeux bleus ce qui peut supposer que Josef Mengele a continué ses expériences biologiques après la guerre … Y a-t-il des preuves?

Jorg Casamara a poursuivi ses études sur les expériences de Mengele afin de trouver le but de toutes celles-ci : le but premier de Mengele était tout simplement sa recherche sur les jumeaux. Hitler en a profité et s’est dit qu’il pourrait agrandir la race aryenne plus rapidement seulement il fallait attendre neuf mois que les jumeaux naissent mais on n’était même pas sûr d’en avoir deux et en bonne santé donc ils se sont mis à faire des expériences tout d’abord pour faire des enfants blonds aux yeux bleus puis ont essayé de faire naître directement des jumeaux grâce aux expériences.

Mengele est arrivé en Argentine en 1949 mais s’est fait retrouver en 1959 par un chasseur de nazis et est parti au Paraguay puis au Brésil où on lui suggéra d’aller dans la ville de CandidoGodoi. Il se fait passer pour un médecin et vétérinaire. Il commence à donner aux femmes une « combinaison miraculeuse de médicaments et d’hormones » sans leur expliquer ce que ça allait leur faire. Après sa visite dans cette ville, on voit naître beaucoup plus de jumeaux.

Jorge Casamara dit dans son livre L’Ange de la Mort avoir interrogé toutes les personnes de cette ville qui avait connu Mengele et ses expériences et tous lui ont répondu qu’il était une personne admirable et remarquable.

Mengele : « Les jumeaux avec qui j’ai fait progresser la science me doivent aussi la vie. » (p.206)


et j'essaye de montrer que c'est toujours facile de dénoncer ce qui s'est passé il y a 75 ans et plus alors qu'on refuse de voir les rafles et tortures actuelles des services sociaux et du gang des barbares de la magistrature sur les enfants victimmes d'agression sexuelle ou d'inceste, ceux qui sont raflés car autistes etc.. rien a changé pour les enfants.

mais il y a les rafles d'enfants reunionais avant ceux d'aujourd'hui car les nazis ont mis en place les loi de création des services sociaux modernes pour faciliter les rafles.

Enfants réunionnais déportés : la France face à son histoire

Dans les années 60 et 70, des centaines d’enfants réunionnais ont été déracinés dans le but de repeupler les campagnes françaises. Une page sombre de l’histoire, largement méconnue, au cœur d’une résolution adoptée mardi à l’Assemblée nationale.

Quand la 2CV camionnette arrive dans la cour de sa nourrice en cette journée d’avril 1966, Jean-Jacques Martial, 7 ans, part se cacher dans le champ de canne à sucre. Dans les années 60, le bruit de ce moteur est bien connu des habitants de La Réunion. C’est celui du véhicule "qui emmène les enfants". "Quand on entendait ce bruit de moteur bien caractéristique, on courait se cacher dans les cannes. La plupart du temps, c'était le facteur", raconte Jean-Jacques dans les colonnes de "Libération", en 2001.

Cette fois, la fuite du jeune garçon dans les champs est vaine. Dans la 2CV camionnette se trouve un représentant de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass) de La Réunion avec, à la main, l’ordre d’emmener Jean-Jacques dans les services de l’aide sociale à l’enfance. Le document pointe les conditions de vie détestables du petit garçon, dans une "case exigüe" au "sol en terre battue", et un père "n’ayant pas le sens de responsabilités". Il monte à l’arrière de la camionnette, sans savoir qu’il ne reverra sa terre natale et sa famille que 35 ans plus tard. Un sort que plusieurs centaines de jeunes réunionnais subissent dans les années 60 et 70, pour lequel l'Assemblée nationale a reconnu, mardi 18 février, la "responsabilité morale" de l'État français.

L’exil

Car Jean-Jacques Martial ne reste que peu de temps dans un foyer sur l’île de La Réunion. Il est rapidement envoyé en métropole "où une tante l’attend à Paris", lui explique-t-on. Mais personne n’accueille ce petit garçon terrifié et frigorifié, en tongs et en short en plein mois de novembre, sur le tarmac de l’aéroport d’Orly. Sa destination est en réalité Guéret, dans la Creuse.

Comme des dizaines de petits réunionnais – âgés de 6 mois à 18 ans –, il est placé dans une première famille d’accueil, un couple de vieux paysans "au grand cœur". Puis quatre ans plus tard, nouveau déracinement, une nouvelle famille d’accueil l’arrache à "son tonton et sa tata" pour l’emmener au fin fond du Cotentin. Un drame : le jeune garçon est victime d’abus sexuels par le père de famille.

Jean-Jacques Martial est malgré lui devenu l’une des victimes d’un sombre épisode de l’histoire française. Pendant près de 20 ans, entre 1963 et 1982, quelque 1 600 enfants réunionnais, officiellement abandonnés, souvent sans le réel consentement de leurs parents, ont été transférés dans 64 départements de la métropole française. Un exil forcé, douloureux pour ces enfants déracinés. Certains se suicident, sombrent dans de profondes dépressions, dans la folie, tombent dans la délinquance…

"Droit à la mémoire"

Cette douloureuse page de l’histoire contemporaine reste aujourd’hui encore largement ignorée. Une méconnaissance que combat ardemment la députée réunionnaise Éricka Bareigts. Mardi, elle a présenté une résolution devant l’Assemblée nationale pour "contribuer à la restauration de ce passé et à la résorption des fractures passées". "Aujourd’hui nous devons reconnaître aux victimes un droit à la mémoire, c’est un minimum. Nous devons apprendre et connaître cette histoire pour mieux tourner la page, à La Réunion et en France", explique l’élue, interrogée à FRANCE 24.

La résolution, adoptée 125 voix contre 14, n’apporte aucun droit à des indemnisations. "Cette question a déjà été jugée, précise la députée. Le juge a estimé que les faits étaient prescrits. D’un point de vue juridique, les choses ont été tranchées". Un procès a en effet eu lieu en 2002. Jean-Jacques Martial a attaqué l’État français pour "enlèvement, séquestration de mineurs, rafles et déportation". La procédure échoue, mais l’histoire de ces enfances volées provoque une onde de choc à travers la France et La Réunion. Les langues, peu à peu, se délient. "Cette horreur-là, personne ne l’avait connue avant la procédure de Jean-Jacques Martial", résume Éricka Bareigts. "Si Martial n’avait pas lancé l’affaire, on serait resté dans l’oubli", complète Jean-Charles Pitou, débarqué à 9 ans et demi dans un petit village du Cantal.