L’invasion de l’Ukraine a aggravé le « chaos informationnel », selon Reporters sans frontières

En France (26e), comme dans l’ensemble des régimes démocratiques, l’ONG constate un « regain des tensions sociales et politiques, accéléré par les réseaux sociaux et de nouveaux médias d’opinion ».

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/10160770454012590

Jeremy Valbuena si je puis me permettre d'en rajouter une couche : je vous soupçonne, vous et les innombrables anonymes qui chient sur la presse sans arrêt, de ne pas lire la presse. Mais d'en lire le commentaire qui en est fait sur les réseaux. Ça fait des mois que lorsque je demande des "faits" sur les raisons qui poussent les gens à critiquer la presse, l'on me sort une collection de clichés, de on-dit, de "soyez pas naïf", de "vous êtes aveugle", de "faites vos recherches" : DU VENT. Les gens ne lisent pas la presse. Mais ne se privent pas de la commenter.


Diane Di J'ai lu un article très sérieux il y a quelques semaines qui analysait le phénomène des réseaux sociaux et dont il ressortait que les RS représentent désormais un danger pour la démocratie (ex : l'élection de Trump). Pourtant, ils sont aussi un atout de connaissances si on les utilise correctement. En somme, c'est comme tout le reste : il y a de très mauvais livres, de très mauvaises émissions télé et de très mauvaises infos ou plutôt pseudo-infos qui traînent sur les RS. Chacun doit faire preuve de discernement pour trier le bon grain de l'ivraie et, manifestement, c'est là que ça pêche pour une partie (heureusement minoritaire mais très bruyante) du commun des mortels.


Entre la propagande russe et la propagande américaine, pas facile de savoir... On sait que les Américains dominent chez nous et les Russes chez eux. On sait aussi que les Américains vendent à tour de bras armes, gaz, etc. On sait qu'ils ont pour objectif de casser l'Europe et de l'empêcher d'avoir une politique de paix. On ne sait pas trop ce que veulent les Russes. On sait aussi que l'Ukraine est un pays aux frontières artificielles et non historiques donc sujet à des variations importantes selon l'histoire. On sait que les accords n'ont pas été respectés (particulièrement sur l'organisation des référendums que ce soit coté ukrainien ou russe). La guerre, telle qu'elle se passe, on sait que l'Ukraine ne peut pas la gagner et que la Russie ne veut pas la perdre. On voit aussi que Poutine n'a pas l'ambition de détruire l'Ukraine. On constate que plus le conflit s'éternise, plus il y a de réfugiés, de sans abri, de destructions, de traumatisés, de haine et de violences à venir.


Niala Sezor On sait que l'Histoire de tous les pays et de leurs frontières sont est compliquée et même complexe ...le nôtre n'y échappe pas . Donc on sait que l'Ukraine au long de son histoire a été plusieurs fois indépendante . Elle l'est de le Russie depuis la chute de l'empire russe soit depuis plus d'un siècle . République Socialiste Soviétique elle a choisit de ne pas rejoindre la Fédération de Russie a la chute de l'URSS ce qui pour Poutine est son péché originel ...On sait qu'en 1994 un traité ( Memorendum de Budapest ) signé avec la Russie garantissait entre autres choses à l'Ukraine '' le respect de son indépendance et de sa souveraineté dans ses frontières actuelles '' frontières actuelles qui a l'époque comprenait la Crimée . On sait ce que Poutine a fait de cette ''garantie '' en 2014 . On sait aussi que quand on n'a pas l'ambition ce détruire un pays où de le mettre sous sa domination on ne commence pas par envoyer une colonne ce blindés de 60 Km vers sa capitale . On sait que ce projet a raté qui a obligé Poutine a revoir ses ambitions a la baisse ....peut être ...