1ºCorinne Grardel Tirloit
Bonjour Madame bien sûr vous pouvez me posez une question et je vous comprends, mais il m’a fallut du temps pour ouvrir les yeux et prendre conscience de ce que je croyais moi aussi et à la lumière de mon vécu ( j’ai 69 ans) je me suis rendu compte de la manipulation dont j’avais inconsciemment été victime.
Pour vous répondre je vous citerai une réflexion de Georges Orwell :
« La dictature parfaite aura l’apparence de la démocratie, une prison sans murs dans laquelle les prisonniers ne rêvent jamais de fuir ».
Mais ce n’est pas nouveau , rappelez-vous :
« Panen et circences » littéralement du pain et des jeux du cirque , est utilisé par Juvenal pour fustiger l’immobilisme des citoyens de Rome face aux intrigues des dirigeants et aux manœuvres qu’ils emploient pour parvenir à contenir la population.
Vous voyez, rien de nouveau sous le soleil.
Il m’a fallut beaucoup de temps pour me réveiller, cadre commercial courant après le chiffre pendant 38 ans jusqu’à ce qu’un burn-out vienne me faire prendre conscience de beaucoup de choses .
Je vous souhaite une très belle journée et une belle vie .
2ºAnnick Suberbie Cousy votre cas est loin d’être une exception. Cette situation concerne pas mal de gens dans les entreprises. Un des conjoints est muté et l’autre??? Soit l’un des 2 change d’entreprise,s’il en trouve une sur le nouveau lieu de travail soit il ou elle arrête de travailler. Bien sûr, c’est dans la grande majorité les femmes qui sont concernées.
Quant aux expatriations, c’est quasiment toujours la femme qui démissionne et suit son mari sans pouvoir travailler dans le pays d’ expatriation. Et lors du retour en France, recherche d’emploi en passant par la case Pôle Emploi…..Je parle en connaissance de cause.
3ºHelene Charrier votre business model on n'en veut pas. Non tout le monde ne désire pas que l'école soit une entreprise, le chef d'établissement un DRH et les élèves et leurs familles des clients. Vous ignorez tout de l'éducation nationale et vous attaquez un modèle le service public qui n'est pas l'école de certains mais l'école de tous les enfants. Restez avec votre modèle d'usines à champions (modèle où les élèves sont choisis triés et le cas échéant remerciés et raccompagnés à la sortie) un modèle les établissements privés ? Là où les collègues sont malmenés sous payés et souvent bien plus souvent non diplômés ? Pitié. Votre éducation du chacun pour soi, du "les programmes ? Les horaires ? ça dépend" et du "en même temps" macronien, on n'en veut pas.