Tout plaquer pour reprendre un café de village : un pari dans l’air du temps

Alors que ces lieux essentiels pour les habitants des communes rurales tendent à disparaître, un programme porté par le groupe SOS, baptisé « 1 000 cafés », accompagne les projets de reprise. Parmi les candidats, nombre de jeunes urbains en quête d’une nouvelle vie à la campagne.

           

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Danièle Clavier Vous avez raison, mais sans prétendre détenir du tout un avis qui fait référence en la matière, j'ai été très content de tenir un petit resto, qui ne gagnait certes pas beaucoup (pour une soixantaine d'heures de travail hebdo, je gagnais un salaire 1000 euros par mois), mais qui m'apportait de nombreux plaisirs : celui d'accueillir, de prendre soin, de faire des bons petits plats, de papoter, de faire des potes, de rencontrer des gens venus d'autres horizons, de créer aussi un peu (mes p'tites recettes). Alors oui, c'est claquant, oui ça ne rapporte rien, mais bizarrement pour certaines personnes dont je fais parti, ça reste sympa ! :-)




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