1ºJacqueline Georget vous ne connaissez rien ça se voit… Et les gens qui habitent les déserts médicaux qui n’ont rien a des dizaines de kms? Les médecins qui refuse faire des gardes le week-end? Où vont les gens? Les étudiants ou retraités qui ne peuvent avancer le prix d’une consultation car on refuse le 1/3 payant, ils vont ou? Arrêtez de mettre le problème des urgences sur le dos des patients. À Bordeaux la bobologie c’est… 20% des passages. Donc pas grand chose. Les urgences font donc leur travail: gérer des urgences vitales.
Il y a toujours des abus, mais ils sont minimes. Que déjà le métier soit plus attractif, qu’une meilleure coordination médecine de ville/ hospitalière existe on arrivera à avancer. Donc vos arguments gardez les pour vous et venez travailler à l’hôpital pour vous rendre compte.
2ºAlain Charpentier C'est pas juste Macron, tout le monde considère qu'on pouvait faire des coupes dans le système hospitalier tout en gardant son efficacité. Parce qu'ils ralent très peu, et parce que c'est un métier de passion, donc le personnel soignant va tout faire pour aider les patients bien au delà des capacités normales. Sauf que maintenant ça marche plus, trop d'heures, plus assez de médecins, trop de démissions de burn out etc... Les gouvernements successifs ont cassé l'hopital, il va falloir voir ce qu'on va faire. On peut discuter des heures sur c'est la faute de... en attendant c'est pas comme ça qu'on va remonter la pente.