Résultats législatives 2022 : Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la mer, manque son pari et devra démissionner du gouvernement

Un mois après sa nomination, la députée sortante de la deuxième circonscription de Guadeloupe (apparentée MoDem) a été battue par le candidat divers gauche, Christian Baptiste, soutenu par la Nupes.

           

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Mireille Molinie je n'ai pas de voiture, j'ai divisé par 4 ma consommation de viande, je prends le train pour tous mes déplacements dans le pays, y compris quand c'est plus long et un peu plus chère, je mets des pulls à l'intérieur en hiver pour ne pas mettre trop de chauffage et je fais attention à ma consommation de manière générale pour consommer le moins possible et le plus local possible.

Mais faire tout cela, actuellement c'est des choix que tout le monde ne peut pas faire. En ré organisant notre société, ce mode de vie sera bien plus accessible à un plus grand nombre.

Les principaux leviers sont politiques.


Simon Badiou la responsabilité est effectivement celle des grandes multinationales, mais la pollution qu'elles produisent est liée à notre consommation.

Cette consommation effrénée ceux sont elles qui nous ont poussé à l'avoir

La solution ne peux être que politique en aidant les Français à se passer le plus possibles de produits carbonnés.

La politique de Macron n'est pas tournée vers cela, pire Elle encourage les inégalités entre classes sociales avec des riches polluants toujours plus sans restrictions et des pauvres n'ayant d'autres alternatives que de se tourner vers des produits bon marchés liés aux hydrocarbures.

La politique écologique de Macron est un échec total. Entre les traités de libre échange, le manque d'investissements dans la rénovation énergétique, le manque d'investissements dans les moyens de transport bas Carbonne (train et vélo surtout) et la continuité d'une politique de soutient aux industries polluantes (aérien et voitures par exemple), il n'y a pas grand chose de positif.


Avec l’inflation, le pouvoir d’achat est plus que jamais la préoccupation majeure des Français. Emmanuel Macron, qui promet une loi à l’été, comme Marine Le Pen durant la présidentielle se sont emparés de cette question. En quoi faites-vous la différence ?
En prenant la mesure de la gravité de la situation et en apportant des réponses concrètes, à l’inverse des propositions creuses de monsieur Macron. Voyez sa « prime » de 6 000 euros, par exemple. Le chiffre claque fort. Mais il n’y a rien d’obligatoire : tout dépend du bon vouloir du patron. L’an dernier, la « prime » n’a été donnée qu’à 20 % des salariés. C’est du verbiage. Pourtant, 400 000 personnes sont devenues pauvres durant le quinquennat. Quant à Marine Le Pen, elle a jeté l’éponge. Quand elle parle, c’est pour dire qu’elle ne peut pas gagner l’élection. C’est un renfort direct à Macron. Pour nous, c’est le contraire : précis et concret avec un vrai changement de vie à la clé. C’est le Smic à 1 500 euros net, la retraite à 60 ans avec 40 annuités, le dégel du point d’indice, le blocage des prix et des loyers à la baisse… Nous voulons éteindre les incendies inflationnistes dus à la spéculation en faisant payer les profits, pas les gens. JLM




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