La vérité, pilier ébranlé de la démocratie

L’idée que le personnel politique serait incapable d’accéder à la vérité et enclin à la dissimuler n’est pas nouvelle. Jamais, pourtant, elle n’a été aussi répandue. Retour sur cette longue histoire, à l’heure de la « post-vérité ».

           

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Jules Delos Absolument vrai. Cherchez par exemple dans le Monde de ces trois derniers mois des interviews "pédagogiques" des participants aux programmes politiques qui ont bénéficié du refus par le corps électoral de légitimer la majorité sortante, et l'ont renvoyée dans la minorité.
Reconsidérez le matraquage hystérique dans ces mêmes pages dont a bénéficié Zemmour, propulsé par la clique Macron-Bolloré-Niel pour ancrer l'extrême-droite dans le débat, et opacifier les deux tendances qui ont émergé au delà du pensable, la NUPES (145 sèges) et le RN (89 Sièges).
Pourquoi le responsable national de la campagne de Macron a été éliminé par Mélanie Thomin, de la NUPES, alors qu'en 2017, la droite dure et la droite molle s'opposaient au second tour ?
Quelles idées ont été proposées par le candidat Macron, et qu'en reste-il dans son programme de gouvernement ?
Bref, le débat était faisandé, sans aucune crédibilité, il était même pourri, et c'était voulu.




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