Le sauvetage raté du béluga dans la Seine suscite interrogations et critiques

« Malgré les moyens techniques et logistiques mis en œuvre, l’état du cétacé s’est malheureusement dégradé lors du voyage »

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/10160954228277590

Arlette Dubois faut arrêter de dire n'importe quoi comment voulez-vous qu'un animal marin vienne mourir dans la seine alors qu'il vit en Antarctique ça fait le troisième animal marin qui vient dans les eaux de la Seine très mauvais pour eux faudrait plutôt voir le trafic humain qui perturbe les sonnards au point où ces animaux marins ne savent plus où ils en sont.. c'est comme si vous habitez en Europe et puis qu'on vous dit que vous allez préférer mourir en Afrique loin de vos proches ça n'aurait aucun sens que vous fassiez ça et bien là un animal avec une telle intelligence.. ne quitterai pas son groupe et faire des kilomètres pour aller mourir dans une eau douce


Pourquoi l'humain se sent il obliger d'être le sauveur de toutes espèces
vivantes sur terre ?
Parce que il se sent supérieur, plus intelligent,r sur cette planète et dans l'univers.
parce que l'on a des regret, on ressent une Vive douleur morale causée par la conscience d'avoir mal agi ?
Certaines espèces, plantes, insectes, animaux n'ont pas besoin de nous, pour survivre,,c'est nous, l'humanité qui sommes inspirés de ces êtres pour nôtre évolution et notre technologie.....
Est ce que l'on c'est demande,si il ne voulais pas finir ses vieux jours tranquilles dans la seine ?
On est qui vraiment pour comprendre et décide l'action de ce cétacé sans pouvoir communiquer avec lui-même....
Oui, l' 'action est belle et les moyens on été mis en place,peu importe l'organisation et la durée....
Est ce que le monde pourrait faire autant pour chacun d'être vivant sur terre ?


On a trop attendu..
Comme pour les feux dans le SO..
Et comme pour attendre la vaccination en 2020..
sans soigner avec ce qu'on avait..
en interdisant ceci..cela..
Le virus était ultra virulent alors..
Et des tas de gens sont morts..
j'ai perdu des proches comme bcp..

Ici dans ce pays...
on attend..pour voir..
On regarde ailleurs..
en attendant de voir que ça se passe..et si ça passe..
Pour aller au moindre coût..
et/ou au plus grand profit..
Avoir l'air de..
Ou éviter d'avoir l'air de..
Qu' on ne voit pas que..
Ou montrer que..
c'est pathétique..!!
Merci au Beluga
qui le permet de dire une fois de plus..
La médiocrité de fonctionnement en France en tous domaines..


Je ne suis pas spécialiste, mais je me suis posée quand même la question de comprendre pourquoi l'intervention ne s est pas faite plus tôt ? Les autorités ont dit que c était trop risqué de le déplacer, il pouvait ne pas supporter le voyage.

Le pb, c est qu'on l'a deplacé quand il était encore plus affaibli qu'au début.

D'où mon manque de compréhension dans la décision.
Peut être que le déplacer des le début, quand il avait encore toutes ses forces aurait permis une fin plus heureuse.

Enfin, bref, au moins ils ont essayé. C'est triste, j'avais espéré que ça se passe bien et avais suivi les nouvelles de la page FB de sea sheppard


Ah les spécialistes...
Si vous trouvez un hippopotame dans la Loire, demandez-vous déjà comment il a pu perdre son chemin à ce point avant de critiquer ceux qui ne lui portent pas secours assez vite.
Pour mémoire
Le béluga ou bélouga, appelé également baleine blanche, dauphin blanc et marsouin blanc, est une espèce de cétacés de la famille des Monodontidae vivant dans l'océan Arctique et dans l'estuaire du Saint-Laurent. Il dispose d'un des sonars les plus sophistiqués de tous les cétacés.
Il était donc suffisamment malade pour perdre à ce point son sens de l'orientation, ou était conservé de manière illégale, donc hors de son milieu...


Vm Kristel malgré que ce béluga ne soit pas un animal domestique ni très proche de nous, j’ai eu de la peine , ce sont des êtres vivants qui ressentent comme nous. On espérait tous que celui-là au moins allait être sauvé. Je pense (je peux me tromper) que ça à trop traîné en longueur. Il ne pouvait pas rester si longtemps dans un fleuve à une température qui ne lui convenait pas et pas d’alimentation appropriée. Nous ne sommes pas encore aguerri pour ce genre de sauvetage. Y a peut être eu une erreur d’appréciation. C’était très délicat c’est sur. Triste pour ce pauvre animal, ça me fait de la peine. Bonsoir Kristel.


Sur la page Sea Shepherd France pourquoi la tentative a été si longue ? BELUGA DANS LA SEINE

Un énorme MERCI à toutes celles et ceux qui nous envoient des encouragements et des mots de soutien, ils nous vont droit au cœur et soutiennent le moral de nos équipes mobilisées auprès du beluga depuis plusieurs jours. Quelques éclairages cependant nous paraissent nécessaires, au regard de certains commentaires de personnes qui suivent tout ce qui se passe de loin et qui ont des jugements tranchés et parfois injustes sur la situation.

Ceux qui pensent qu'on devrait se passer des autorisations (il n'y a pas de problème d'autorisation, les services de l'État et la sous-préfète de l'Eure est disposée à faire tout ce qu'il faut dans l'intérêt de l'animal).

Ceux qui pensent qu'il suffit de l'endormir et de l'amener en mer : les dauphins ont une respiration consciente. Il cesserait donc de respirer et mourrait.

Ceux qui pensent qu'il suffit d'ouvrir l'écluse et "le laisser regagner la mer" : ce serait une solution simple mais il est à plus de 150 km de l'estuaire, doit passer encore une écluse, est dans une condition physique dégradée et avait jusqu'ici plutôt tendance à se diriger vers Paris que vers la mer. Le "driver" avec les bateaux de Sea Shepherd a été envisagé mais le risque de le perdre est trop grand vu la distance à la mer et la capacité du béluga à disparaitre rapidement sous l'eau avec le risque qu'il se dirige vers Paris...

A ceux qui pensent qu'il faudrait cesser l'acharnement thérapeutique et euthanasier l'animal : nous avons consulté des experts des bélugas au Québec qui travaillent avec l'espèce depuis des décennies, les vidéos, photos et descriptions comportementales de l'animal, et leur avis est clair : toute décision d'euthanasie serait prématurée.

A ceux qui pensent qu'il aurait fallu le sortir immédiatement et l'emmener au large : oui cela se fait régulièrement dans l'industrie de la captivité notamment à Taiji au Japon où les captures en milieu naturel sont malheureusement encore autorisées. Mais le taux de mortalité est très important. Le niveau de stress sur un animal affaibli est à prendre en considération car le risque qu'il ne survive pas au transport est réel. Il a fallu peser le pour et le contre et surtout faire avec toutes les contraintes logistiques liées à l'emplacement de l'écluse, à la température en plein mois d'Aout, et surtout déterminer si un relâché en mer devait se faire immédiatement ou si un passage dans un bassin salé pour prodiguer des soins était préférable.

Avec toutes les incertitudes qui entourent ce cas complexe, un arbitrage au mieux de l'intérêt de l'animal a du se faire en mobilisant le plus rapidement possible des compétences très différentes, en France et à l'international, sachant que notre pays n'est absolument pas prêt à gérer et à accueillir des cétacés sauvages, nécessitant des soins.
Parmi les questions essentielles : le mal dont est atteint le béluga et qui est à l'origine de sa perte d'appétit est-il curable ou irréversible ? Un séjour en soins lui serait-il bénéfique ou complètement inutile ?

Survivrait-il à un transport ? Quelle structure en eau salée et sécurisée est-il possible de trouver en urgence pour lui avec toutes les contraintes liées aux activités portuaires existantes ? Quels soins, tests, analyses sommes-nous en mesure de lui prodiguer rapidement pour juger au mieux de son état et prendre les meilleures décisions pour lui ?

Toutes ces questions et le parcours d'obstacles que le grand public ne soupçonne pas (obstacles surtout dus à la somme des inconnues et aux difficultés logistiques) qu'il a fallu franchir en un temps record pour une situation encore très inédite en France et à laquelle personne n'est préparé.

Des choix ont été faits, en analysant avec soin le rapport bénéfice-risque pour l'animal, en ayant toujours pour unique curseur, son intérêt. Aucune économie d'énergie, de temps ni de sommeil n'a été faite. Nous avons pu collaborer avec des institutions très différentes dont certaines avec lesquelles nous sommes habituellement en opposition (delphinariums par exemple). Tout a été fait dans l'objectif prioritaire de faire ce qu'il y avait de mieux pour cet animal et une collaboration aussi inédite que l'est la situation a pu se mettre en place. Quelle que soit l'issue de cette incroyable expérience, que nous espérons de tout coeur heureuse, tout aura été fait pour donner à ce béluga un maximum de chances. Ce à quoi Sedna n'a pas eu droit, ce beluga l'a eu. Et beaucoup d'enseignements sont déjà tirés de tout ceci. Cela servira les prochains cas. La France devra se hisser à la hauteur de pays comme les Etats-Unis dans l'accueil de cétacés en détresse et disposer d'un protocole d'urgence déjà prêt avec un réseau d'acteurs variés et complémentaires qui sauront s'unir, quitte à mettre temporairement de côté leurs divergences, pour secourir un maximum de cétacés.

Demain sera un grand jour pour ce béluga et pour toutes les personnes impliquées dans son sauvetage. Il sera sorti de l'eau et acheminé vers un bassin d'eau salée où il sera placé sous surveillance et bénéficiera de soins, en espérant que son mal est curable. Il sera ensuite relâché en mer, avec on l'espère, les meilleures chances de survie.

Encore merci à tous pour votre soutien, merci à nos bénévoles qui se sont mobilisés en un temps record et qui restent aux côtés du béluga depuis des jours et merci à toutes les personnes impliquées de près ou de loin dans ce sauvetage.


Guillaume QL désolée mais j'avais compris votre commentaire comme signifiant quand on n'est pas spécialiste, on se tait.

La critique devrait permettre d'avancer et de progresser mais quand on voit que SS n'accepte pas que certains s'interrogent, c'est pas génial. Ayant vu dans des reportages vidéos des sauvetages et des transports de cétacés, je suis effarée de ce que j'ai vu, effarée que des vétos aient pu valider cela, effarée que SS ait pu valider cela, effarée de voir que des spécialistes n'aient pas vu de suite que les fameuses tâches qui étaient apparues subitement étaient des algues , effarée de voir que des spécialistes aient plié les pectorales pendant plusieurs heures dans un filet, effarée que des spécialistes aient laissé un cétacé se comprimer sous son propre poids prisonnier d'un filet tranchant...il existe des civières pour le transport des cétacés et logiquement Marineland en dispose... Effarée de voir que SS mendie des talkies walkies et des mousquetons... Donc oui on peut se poser des questions et c'est juste de la constatation. Je ne pense pas m'avancer en disant que ce sauvetage a dù pas mal aggraver son état et que pour faire ça de cette façon, il aurait peut être dû dire qu'on ne savait pas faire et qu'on choisissait l'euthanasie pour le bien de cet animal. Parce que là j'ai juste vu une bande d'humains jouer aux kékés devant les caméras




+