Comment contrôler les rodéos urbains, qui ont provoqué plusieurs drames cet été ?

Le phénomène ne faiblit pas.

           

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Que de belles solutions proposées ici... La vérité est qu'on ne peut pas faire la promotion de l'extrêmement spectaculaire avec des vidéos de sportifs sponsorisés par de grandes marques de boissons énergétiques qui font du free style ("Stunt") en tee shirt (Voir Sarah Lezito par exemple, très douée...) et empêcher ensuite les jeunes de vouloir reproduire sans leur laisser un espace de jeu sécurisé et encadré par des pros. Les sanctions promises sont d'autant plus démesurées que, comme dans l'activité de conduite automobile que tout un chacun exerce au quotidien, le niveau de formation en France est égal à... 0: Vous prenez des prunes pour 3 km/h de trop mais on ne vous a jamais fait faire un simple exercice de freinage d'urgence...


Eve Iveneg on vie dan un monde aseptiser, très égoïste repressif à mort, les gamins ne peuvent pas bouger un poil de cul sans être taxer de racaille à abattre. Dalleur dans un comm y en a un qui propose de leur foncer dessus en voiture.
Sympa.
Il n y a jamais eu de terrain vague en ville dans lequel les gamins pouvais faire leur bêtise sans gêner personne. Des Cameras partout
Les vieux n ont jamais rouler en bécane sans casque dans des terrains vague ou des routes isoles , ils avaient tous une ceinture de sécurité en voiture, même a l arriere avant même que ça existe ne buvais jamais , surtout pas au volant pas de cigarette des le plus jeune age.
La drogue n existait pas. Les loubards non plus
D ailleur a chaque fois qu une lois est passer pour abaisser le taux d alcool au volant les francais etaient ravis de savoir qu avec deux verres ils ne pouvaient plus prendre le volant.
Idem avec la vitesse.
Non c etait des anges bien eduquer.


Jean-Luc Roux Nous en sommes tous, mais eux plus que nous et, vous, en tant que pompier et citadin, plus que moi. Moi si je veux faire un tour à moto sans casque, il y a peu de chances pour qu'il y ait les flics. Si je veux faire du feu, hors période de sécheresse, évidemment, personne ne va rien me dire. Même si ma liberté s'est considérablement rétrécie depuis quelques décennies, surtout que je suis né en Suisse, qui était un paradis quand j'étais gamin, loin de l'enfer que c'est aujourd'hui, je ne subis pas la société comme certaines couches sociales parquées dans des ghettos.


Erik Cartman les enceintes existent et je parle pas que des grandes villes mêmes en province il y en a qui font se genre de rodéo et avec des motos volées . Déjà une motocross dans une cité c’est un non sens c’est quand un tmax dans un champs dans la creuse ..ensuite il y’a le lieu de pratique un circuit ou terrain avec des infrastructures sécurisés qui se payent avec des licences ensuite viens l’équipement et le matériel de transport et d’entretien de la machine plus une éducation adéquate..ils n’on rien de tt ça ..alors l’idée du circuit ne sert pas à grand chose


Jean-Luc Roux C'est la conséquence de l'oppression. On brime les gens et ils deviennent agressifs, c'est normal. On les a parqués là pour s'en débarrasser, comme du bétail qui attend dans son parc de contention devant l'abattoir. Forcément, tout ce qui représente la république, ils le haïssent.

Ils sont comme la vache qui se rebelle à l'abattoir, refusant de se laisser abattre et alors on commence à lui cogner dessus en la traitant de sale bête.

On ne peut pas opprimer systématiquement pour tout et n'importe quoi tout le temps par tous les moyens et s'étonner d'avoir des conséquences.

Nous sommes tous victimes de l'oppression liberticide installée progressivement depuis une trentaine d'années, mais eux la subissent puissance 10...


Maxime Eric Souverain ah oui, donc en fait, les policiers ne peuvent pas retrouver des motos volées (c'est vrai que c'est tellement dur de suivre ces gens...), par contre on a des policiers pour pouvoir provoquer une chute. Etonnant hein? Ils savent très bien où sont les motos, quand ils font des descentes pour retrouver des armes ou de la drogue, oh miracle, ils les retrouvent les motos. Quant aux espaces dédiés, la création du circuit Carole en IDF ou du circuit Candy à Toulouse montrent que vous avez tort. Evidemment, il y aura toujours ceux qui n'iront pas parce qu'ils le font pour enfreindre les lois. Mais du coup, y'en aura beaucoup moins et la police pourra agir. PS : je ne vois pas en quoi je défends l'indefendable. Stratégie de l'homme de paille, classique.


Jean Lewandowski Non, il n'y a pas de très bonnes raisons d'empêcher les gens de vivre. La baignade n'a pas à être surveillée. Pour ma part, si la baignade est surveillée, je n'y vais pas, je ne suis pas un péquenot citadin qui s'entasse avec le gros de la masse.

C'est un très bon exemple. Et dans un monde normal si la baignade est interdite quand le drapeau est rouge, le problème, c'est le drapeau, pas ceux qui se baignent, il n'y a qu'à enlever le drapeau. A chaque interdit sa solution : supprimer l'interdit que rien ne justifie.

Avec votre manière de voir les choses, tout va continuellement s'aggraver jusqu'à ce que les gens se révoltent définitivement et très violemment et là on est tout proche. Et pour ma part, je n'attends que ça, je suis prêt à prendre les armes pour rétablir les droits individuels si nécessaire. Je n'attends que le signal du départ.


Kika Girard c'est pas un problème d'éducation. C'est le problème de l'offre et de la demande. On offre à ces jeunes des bolides en leurs vantant les mérites d'une forme de liberté offert par la sensation de vitesse. On leur glisse sous le manteau la possibilité de débrider ces engins de malheur. Ils ont vu leurs aînés leurs vanter cette sensation de liberté qui a été transmis de génération en génération. C'est aussi ce que vante à longueur de journée les publicités. Et après on s'étonne que les gens se soucient peu des dommages collatéraux ? Jamais on ne prévient les gens sur les dommages collatéraux. Et limiter ça uniquement aux cités ça prouve votre parti pris... Les commerciaux qui vendent ces machines ne les vendent pas uniquement à des gens des milieux urbains...


Cé Anna quand on fait un enfant on l'assume jusqu'au bout ! Ce n'est pas une poupée ce n'est pas un jouet ce n'est pas un objet on ne le laisse pas seul dans le quartier livré à lui même dès son plus jeune âge , ce que j'ai pu constater dans les cités puisque j'ai vécu plus de 10 ans a Trappes j'ai vu ce que les parents faisait ont laisse ses enfants tout seul toute la journée dehors sans surveillance , honteux , mes enfants étaient toujours avec moi jamais seul et on rentré de l'école courses et directement la maison et cela date déjà de 30 ans , alors ce n'est pas d'aujourd'hui que ce problème existe il existe depuis bien plus longtemps et mon fils l'aîné avait peur des motos qui passé sous le porche en dessous de notre appartement il tremblait comme quoi c'est pas d'aujourd'hui c'est les parents qui laissent faire leurs enfants et qui n'ont plus le dessus sur eux mon fils a 33 ans a l'heure d'aujourd'hui et mes filles 30 et 26 ans et pareil l'éducation que l'ont donne à ses enfants et très importantes et cela dès l'âge très jeunes ont ne laissent pas ses enfants tout seul en bas de son immeuble


10ºThierry Curty À mon époque il y avait quelque chose qui s'appelait éducation populaire. Il y avait partout des organismes. Et les jeunes pouvaient venir pratiquer des activités socio-culturelles, culturelles ou sportives. Aujourd'hui la plupart de ces organismes sont subventionnés par les CAF. Et on leur demande de faire les missions d'utilité sociale que l'état ne veut plus remplir, et des activités pour les familles. Les activités pour les jeunes ont souvent disparu. Donc les jeunes sont livrés à eux même. De même les émissions pour la jeunesse le mercredi et pendant les vacances scolaires ont permis à un certain nombre d'accéder à un imaginaire. Aujourd'hui ça n'existe plus. Dans les cités on est passé à dealer nounou. Rappelons qu'aux USA, les classes moyennes supérieures afro-américaines se sont mobilisées contre la culture gangsta et ont crée des programmes socio-culturels ou sportifs dans les quartiers ghettos au début des années 2000.




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