Hébergement d’urgence : partout en France, un nombre croissant de personnes, dont des enfants, se retrouvent à la rue faute de solutions

Un petit garçon, la morve au nez, les yeux pleins de larmes. Il répète : « Je veux du chocolat. » Il a 6 ans et, ce soir de décembre, par − 2 degrés, il réclame à sa mère un goûter, quand celle-ci avale une soupe populaire.

           

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Arnaud Leroux quand on vient de quelque part, quand on quitte un endroit pour aller dans un autre pays que l'on prend pour un eldorado, pour celui qui va tout nous donner gratuitement ou tout simplement que l'on va envahir (et je ne parle pas que de la France), on a bien un chez soit, un pays d'origine ....

Et je t'épargne ta propagande wokiste, du bon vivre ensembles, d'adaptation aux autres et j'en passe, tu peux trouver autre chose

Les français qui sont dans la rue (Jean Claude et Angélique) n'ont pas le lux de demander le droit d'asile ou autre et tout ce qui s'en suit derrière, y compris de ne pas pouvoir travailler, si tant est qu'il y en a qui en ont envie


Luc Alotis C'est surtout la politique de ce gouvernement qui ne marche pas . Elle entretient mine de rien la précarité sous le couvert d'une image de grande puissance au profit d'un non partage de richesses. A bien regarder les pauvres sont de plus en plus pauvres et les riches de plus en plus riches et ceux qui sont au milieu transpirent fortement pour stabiliser ce système. En fin compte rien de nouveau mais si ce milieu glisse aussi dans la précarité vu qu'ils n'y sont pas habitués il y a de quoi s'inquiéter pour la paix sociale et malheureusement ce glissement est en train de s'amorcer fortement et à grande vitesse. Cette situation risque hélas de fracturer l'esprit solidaire des Français vis à vis des problèmes vécus en France et à l'étranger pour laisser monter une colère propulsée par la misère. et par un instinct de survie que les rustines gouvernementales ne freineront plus . Un septennat c'est court comparativement aux vies brisées qu'il peut provoquer.