1ºJerome Tidron et si vous aviez bien lu mon commentaire sans mauvaise foi et sans mauvaise intention interprétative, vous auriez remarqué que je parle justement de ces bénéficiaires d'aujourd'hui qui sont ces " salariés" qui "sont au régime général et participent donc (déjà) au système par répartition". Ce sont eux qui donc payent pour les retraités "d'aujourd'hui" et d'hier. Mais qui ne sont pas certains qu'ils arrivent à l'âge légal de départ à la retraite à 63,1 ou à 64ans. Voilà pourquoi je dis qu'ils sont gagnants et perdants. Gagnants car étant " les actifs" qui " cotisent pour les retraités d’aujourd’hui" et pour les retraités d'hier. S'" ils ne cotisent donc pas directement pour leur retraite", ils participent à l'effort collectif pour maintenir les retraités du passé. Et c'est ainsi que "l’argent cotisé est distribué immédiatement" aux retraités vivants. Mais ils sont perdants. Car ils vivront avec la peur et l'incertitude de savoir s'ils pourront bénéficier d'une retraite. En outre dire que "ceux qui meurent avant l’âge de départ ne laissent donc aucun pactole". C'est faux. Car avant de mourir, ils ont cotisé pour un pactole. Et donc ce sont des perdants. Car ils ont participé à l'effort collectif pour les retraités d'aujourd'hui et d'hier mais n'ayant pas survécu, ils sont des perdants. Ils ne peuvent pas bénéficier d'une retraite. Voyez vous, c'est "comme ça" que les arguments s'expliquent..