« On va les ruiner, camarades ! » : comment les cadres de la CGT galvanisent leurs troupes face à la réforme des retraites

« Il n’y a aucune justice sociale à mourir au travail. Leur choix politique, c’est de faire crever les travailleurs au boulot alors que les caisses du patronat sont pleines, a ajouté Cécile Velasquez, de la fédération des organismes sociaux. C’est pour cela que nous devons continuer et amplifier les luttes. »

           

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Pour en finir avec les comptes d’apothicaires et les travaux forcés.

La retraite n’est pas la solution, mais le revenu universel pour tous, de la naissance à la mort, limité à deux enfants par famille.

Les "galériens" sont libérés de l’injonction biblique "tu gagneras ton pain à la sueur de ton front".
Les professionnels qui s’éclatent au boulot sont beaucoup mieux payés sans être obligés de partager la masse salariale et la propagande démoralisante des "bagnards" du "ça va comme un lundi", "en attendant la retraite" et du "bon courage" 18 fois par jour.

Sans oublier les gains de productivité dus à la motivation professionnelle et l’arrêt du sabotage rampant.

Mais pour ça, il faudrait aussi en finir avec l’idéologie messianique du travailleur libérateur de l’humanité et des entreprises comme bases révolutionnaires d’où un jour partira le grand soir des petits matins de l’avenir radieux.




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