Guerre en Ukraine : la justice internationale a réussi à faire de Vladimir Poutine un paria

ANALYSE. Le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale lancé contre le président russe peut avoir un réel impact sur l’action diplomatique de Moscou et peser sur un éventuel futur accord de paix.

           

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Pour expliquer aux mal comprenants, la CPI a autorité en Russie, qui en a reconnu le statut officiel donc l'existence ET LA COMPÉTENCE en matière de crimes de guerre, sans toutefois ratifier valider sa soumission au Statut de Rome et à ses arrêts et rendus.
154 pays ont reconnu la validité de la CPI et sont par conséquent tenus d'arrêter Poutine et le transférer à la CPI, il reste donc 42 pays où Poutine pourra aller violer les femmes et voler les enfants, conformément aux principes phares de sa civilisation hautement appréciée en Afrique et à Bayreuth, chez Wagner.
Surtout n'oubliez jamais la recommandation essentielle de Macron : il ne faut pas vexer Poutine !


En qualifiant cette annonce de "coup de tonnerre", certains voudraient bien y croire.
Et puis il y a les autres, peut-être d'esprit plus réaliste, qui attendent de voir s'il ne s'agit pas là d'un simple pétard mouillé.
Toujours est-il, que tous se demandent en fait s'ils n'assistent pas, en seulement 24 heures, au sabordage d'une organisation qui tentait pourtant d'exister depuis maintenant une trentaine d'années.
S'ajoute à cette inquiétude le fait qu'une douzaine de membres de cette organisation risquent désormais de prendre le coup de l'étrier, à la suite de l'annonce de l'ouverture d'une procédure pénale contre eux par la Russie.
Parmi lesquels, la juge japonaise Tomoko Akane, le juge italien Rosario Salvatore Aitala,
le juge costa-ricain Sergio Gerardo Ugalde Godinez et le procureur général britannique Karim Ahmad Khan.
Il se dit même que ces derniers n'ont accepté de rendre publique la déclaration de la CPI qu'après avoir obtenu, en cas de problèmes, l'assurance de garanties - genre protection de témoins et repentis - dans des pays dont le nom devra resté secret.
Bref, on se demande qui sera le plus gêné dans cette histoire.


Ce mandat d'arrêt a déjà un impact, c'est la sortie des longs couteaux à Moscou en vue de désigner le successeur. Qui ne pourra faire partie de l'équipe sur le départ, au risque d'endosser les malversations de Vlada et assumer les sanctions diverses et variées.
Un autre impact, c'est la cacophonie qui va redoubler dans la poursuite de l'engagement militaire en Ukraine. Bagarres sanguinaires entre l'état-major et Prigozhine déjà en cours, ca devient franchement grave de les ignorer, elles sont étalées par les protagonistes...
Ce serait bien de vous renseigner un minimum, il suffirait que les russophones journalistes en CDD veuillent bien faire leur boulot, enquêtent avec lucidité, et aillent chercher le poisson là où il ne veut pas être vu.


La guerre en Ukraine montre le vrai visage de beaucoup de personnes : les extrémistes et les mafieux qui défendent pootin en mentant, dénigrant et insultant.
Le pire, c’est ceux qui prétendent que tous les occidentaux sont racistes à leur égard et que les occidentaux sont russophobes.
Alors qu’eux et les russes du régime poutiniaque sont occidentalophobes et racistes envers les peuples que la Russie attaque.
Ils sont enfermés dans le déni et la projection de leur propre racisme, du racisme et des crimes du régime rusciste impérialiste sur les pays que pootin attaque et sur l’Occident que pootin agresse par les cyber attaques et la désinformation continue.
Cela leur permet de justifier ou d’auto-justifier la guerre injuste que la Russie mène contre l’Ukraine pour la russifier par tous les moyens.
Ils se donnent simplement le droit de tuer le peuple ukrainien qui refuse de perdre sa liberté, son identité et sa souveraineté.
Ils vivent dans une réalité parallèle délirante où ils projettent tous leurs crimes sur ceux qu’ils attaquent.
Leur signe Z signifie ZOMBIE naZi.


Quand un homme fait peur à tous on lui traite de paria ,méprisé, isolé, mais tel n'est pas le cas de Poutine, comme vous ne pouvez rien lui faire ,vous êtes obligés de lui traiter de paria, sinon si c'était peut-être un président africain vous allez venir le cueillir comme une mangue mûre,mais comme c'est une puissance au dessus des autres puissances ,vous vous adonnez à le dénigrer, à le mépriser, Poutine n'a pas d'autres objectifs que les occidentaux laissent gérer l'Afrique par les africains, pas des leçons à nous dicter, pas des cours à nous donner ,pas des conseils à nous donner, nous sommes des professeurs, nous sommes des ingénieurs, nous sommes des intellectuels.


Lê Minh Tran Van De gauche à droite: Mme Olena Zerkal, Ministre adjoint des affaires étrangères de l'Ukraine, M. Herman von Hebel, Greffier de la CPI, S.E. M. Pavlo Klimkin, Ministre des affaires étrangères de l'Ukraine, et S.E. Joyce Aluoch, Présidente par intérim de la CPI ICC-CPI
Aujourd'hui, le 8 septembre 2015, le Greffier de la Cour pénale internationale (CPI), Herman von Hebel, a reçu une déclaration déposée par l'Ukraine acceptant la compétence de la CPI pour des crimes qui auraient été commis sur son territoire à partir du 20 février 2014. Cette déclaration a été déposée en vertu de l'article 12 (3) du Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI, qui permet à un Etat qui n'est pas partie au Statut d'accepter l'exercice de la compétence de la Cour. La déclaration a été déposée par le Ministre des Affaires étrangères de l'Ukraine, S.E.M. Pavlov Klimkin, au cours d'une réunion avec la première vice-présidente de la CPI, Mme la juge Joyce Aluoch, et le Greffier de la CPI, M. Herman von Hebel. La déclaration souligne que « l'Ukraine coopérera avec la Cour sans délai ou exception. »


Avec ce mandat d'arrêt de la Cour Pénale Internationale ( CPI ) décerné contre le
puissant chef d'État russe, Vladimir Poutine, on comprend mieux les plans machiavéliques de l'Occident...

Quel est l'intérêt des États-Unis à prolonger le conflit russo-ukrainien ? Et quel impact diplomatique ce mandat aura-t-il dans le conflit russo-OTAN qui se déroule en Ukraine ?

Pourquoi la Cour pénale Internationale ( CPI ) n'émet-elle pas de mandats contre des dirigeants corrompus qui déstabilisent la paix dans certains pays du Sud et qui sont responsables de l'instabilité généralisée et de la prolifération des gangs, qui terrorisent les femmes et les enfants ?

Pourquoi les interventions militaires, facteurs destructeurs de la paix régionale, conduites par les États-Unis dans le monde au cours des 20 dernières années ne sont-elles pas condamnées ?

Comment les évènements ( la violation des droits internationaux, etc.) qui ont longtemps alimenté les tensions géopolitiques en provoquant des affrontements génocidaires et dévastateurs, sont-ils toujours justifiés et jamais dénoncés par les institutions internationales et la presse occidentale ?

Pourquoi la Cour Pénale Internationale ( CPI ) n'a-t-elle pas condamné les présidents des États-Unis, qui ont ordonné des crimes de guerre ( génocides et autres atrocités ) dans le monde ?

La mise en lumière de ces questions favoriserait une lecture juridique et critique du droit international public dans les crises conjoncturelles et géopolitiques qui troublent l'ensemble de la planète. Tout cela, en fixant la vraie mission de la CPI , organe des Nations unies ( ONU ), au regard des crimes contre l'humanité. Que les États signataires de cette instance judiciaire internationale partisane se positionnent rapidement par rapport à cette action juridico-politique occidentale malveillante du 17 mars 2023, qui vise délibérément l'escalade de la guerre en Europe !