Dans les médias, des rédactions encore trop « monochromes »

Les écoles de journalisme sont souvent pointées du doigt. Les concours conduisent à une reproduction des élites, à peu de diversité sociale et ethnoculturelle, à une surreprésentation des étudiants venant de sciences politiques.

           

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C'est pour cela que nous avons en France des journalistes insipides qui se contentent de répéter comme des échos ce que l'état dit. Leurs coupable neutralité font de l'information un simple menu qu'ils se contentent de lire. De fait, ils propagent non pas une information mais un discours y compris lorsque celui-ci est mensongé. Si l'information est une arme les journalistes sont les soldats qui l'utilisent en connaissance de cause. Ils sont responsable de la désinformation du peuple et de fait de son asservissement aux dogmes d'état. Ils ont aussi une lourde responsabilité dans le sentiment d'anxiété dans lequel nous vivons. Cela a été particulièrement visible pendant la période covid ou non seulement les citoyens étaient accablés par la situation quotidienne mais il fallait encore que celle-ci soit présente jusqu'à dans les foyer ou il était impossible d'échapper au matraquage télévisuel (devrais-je dire - lavage de cerveau -) sur le covid alors même qu'il n'y avait pas grand chose a dire puisque la situation n'évoluait pas d'heure en heure ni même de jour en jour. Il est grand temps de se poser les bonnes questions sur la formation des journalistes même si dans cette corporation comme dans les autres, il y en a surement qui vont leurs métiers avec passion et professionnalisme.




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