La musique française, un produit qui s’exporte bien

L’abolition des frontières, permise par l’avènement du streaming, a participé à l’essor de la scène française à l’étranger.

           

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Mansa Moussa Du Wagadou
1) Comparer ce qui est comparable à des époques comparables. Le streaming et les resa sur internet pour les concerts n’existaient pas au temps d’Edith Piaf.
Donc bon. Il est plutôt compréhensible que votre idole y fasse de meilleur score.
2) René la Taupe, Jordy, Lagaf et la Zoubida (tout aussi vide de contenu que les textes de vôtre adorée) sont restés des semaines en tête du top 50 à leur époque (qui comptabilisait les disques vendus physiquement et ne comptaient pas quand on écoutait 15 sec sur une plateforme). Comme quoi depuis toujours la quantité vendue/écoutée n’a jamais fait la qualité.
3) Je voyage. Plutôt pas mal. Et je ne l’ai jamais entendue nul part.


Lili Janodet-Barbarin je ne suis pas la cible de sa musique d’ailleurs je ne l’écoute pas. Cependant , les commentaires du style vide intersidéral témoigne au mieux d’une ignorance sur le sujet au pire autre chose de plus malaisant. C’est l’artiste française ( si vous préférez francophone) la plus écoutée de tous les temps. Elle est passée devant Edith Piaf. C’est une artiste reconnue et écouter par ses pairs américains. Beyonce, Rihanna et d’autres stars internationales sont fans d’elle. On l’a affiché sur les écrans géants du Time Square. Quel autre artiste français a eu cet honneur ? Donc quand on connaît tous ces faits, même un non fan ça se dire vous êtes de mauvaise foi. Qu’on aime ou pas sa musique Aya Nakamura est bien le symbole de la musique française ( si vous préférez francophone) à l’international. Il suffit de voyager pour s’en rendre compte.




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