Elisabeth Borne, une première ministre désavouée et en perte d’autorité

Ses propos soulignant la filiation entre le Rassemblement national et le maréchal Pétain lui ont valu des mots cinglants de la part d’Emmanuel Macron. Abîmée par le fiasco de la réforme des retraites, elle est la cible régulière de piques élyséennes.

           

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Jean-françois Huriaux
Je ne cherche aucunement à dédouaner l'extrême droite, je répondais seulement à un commentaire, qui a d'ailleurs été effacé.
Vous vous permettez de me prêter des idées qui ne sont absolument pas les miennes.
Ce n'est pas parce que je souligne certains faits historiques, pratiqués par Mitterrand ou d'autres politiciens, que je défends les opinions de tel ou tel parti.
Je pense qu'il est important de connaître les "dessous" de l'histoire pour mieux la comprendre.
Je ne dédouane donc aucunement le rn, ni ses fondateurs, pas plus que ceux qui ont fermé les yeux, et les ont laissé se développer.


Jean-françois Huriaux
J'en suis bien conscient, croyez le.
Le problème avec l'extrême droite en France, c'est que les politiciens s'en servent "d'épouvantail" à chaque élection présidentielle, ce qui permet à n'importe quel candidat présent au second tour d'être élu.
Ce comportement est à la fois hypocrite et dangereux, d'une part parce qu'il ne dénonce pas réellement les dérives de l'extrême droite, et que petit à petit le rn (ou fn) devient "crédible" aux yeux des électeurs déçus.
Il passent aujourd'hui pour la seule alternative, il se montrent sous leur meilleur jour, et ne sont pas avare de promesses.
Le constat est triste et inquiétant, j'en conviens, tant-pis si je parais pessimiste.




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