Emmanuel Macron ne s’exprimera pas le 14 juillet mais « dans les prochains jours », selon l’Elysée

Le président de la République avait fixé, le 17 avril, un objectif de « cent jours d’apaisement » et « d’action » pour clore la crise des retraites.

           

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Ce sont ces passants-là , des fers vents du libéralisme politique qui trouvent le Louvre mal gardé et se déclarer partisans de l'intervention de l'État dans l'économie et dans la blancheur des écrans pour préserver ses sujets de la contagion morale de la justice sociale . Avec Gustave , Elisabeth Geffroy rajoute . " Tant que l’État assure le confort et ses jouissances matérielles , il satisfait suffisamment les individus démocratiques pour ne pas soulever leur révolte . " Ce qui signifie qu'éduquer qui rend l'aspect de toutes choses plus satisfaisant rayonnantes , ce n'est pas remplir des vases sombres et ne faire aucun effort , c'est allumer des feux qui éclairent et faire ce qu'ils nous révèlent en jetant sur la pensée générale un arc-en-ciel de Montaigne de savoir » . Il nous faut envisager toutes les éventualités que la mise au rebut des choses est une potion magique anti-vieillissement des maux et de rajeunissement de la démocratie qui provient de l' éclat particulier à ne pas retenir ses erreurs , et voir fleurir la fleur du givre d'un éclat particulier, aux étoiles d'un jeu de lumière pervers d'aiguilles
Fomentée par les productions de masse , on vient d'établir la société dans ses états où on joue avec le soleil sur la chair nue sans protection d'orfèvrerie des joyaux de la République qui fait que " pour un homme seul, les choses perdent la moitié de leur intérêt " fatalement des choses déformées et transformées qui rend les vitesses radicales de toutes les étoiles d'un champ sociale devenir que " nous devant détestent la police" qui ne fait pas son travail dans les bras de la promesse du peuple d'où ne ressortira pas qu'une chance anormale , puisqu’il faut souhaiter après tout l’ordre économique , la force , plutôt que la justice sociale ou écologique , la lutte entre le code d'honneur que la loi disait : On ne fera rien à l'encontre du peuple - , et pour le mettre hors d'atteinte du pouvoir , le brouillage du code et inverser le tribunal du peuple par un dictateur momentané , le tribunal d’État pouvant seul terminer haut la main nos malheurs laissés dans le pupitre de la fracture , l'image prompte de la liberté relative plutôt que la vertu inaliénable du geste large, , l’inégalité avec le renoncement de l'égalité , la voie sonore des privilèges " à courtiser la faveur des faubourgs, à parodier l'enfance révolutionnaire, à bégayer un vieux langage de liberté . "
Les mots disent ce qu'ils veulent , des petits riens pour jours absolus . On les emploie par besoin de l'abondance et de la généralité des faits , une éducation qui embrase notre vie de ce monde , sans plus à le connaître . Ou alors on les emploie pour fausser l'idée que l'absolu n'est rien alors qu'il nous domine , qui annonce la mort fractale , la « résurrection du mythe en morceau " qui l'avait recueilli sans doute pas au dernier degré pour ne pas le reconstituer en état de se battre , et où commence la fin ; la mort selon une méthode éprouvée à soûler le plaisir dans la consommation permanente et la fin , forte de son droit d'épouse de nous emporter au plus loin , majestueuse ou ignoble , devrait y suffire à nous rassasier qui soutient , par son ajustement , la vie qui ne manquerait pas de se trouver partout , jusqu'au bout . Naturellement, il est rare que ce schéma , lorsque la naissance l'introduit dans le troupeau du destin , s'applique aussi simplement à la connaissance de ses mystères : mais on recherche toujours ce fruit vert pour que s'ouvre à nouveau le jardin de l'enfance et que l'on remplace la mer par du sable , faisant de ces petits riens qui rendent les jours absolus , beaux et éternels
Le soleil pouvait bien se rouler dans le blé battu comme du pain perdu , il n'en restait pas meilleur pour sa destination , l'été et l'était .

Nous sommes en effet comme les troncs d'arbre dans la neige , plus jeune, on verrait la révélation du plaisir mis de côté , à l'abri . On dirait bien qu'ils sont une menace juste posés ainsi , bien à plat et qu'on pourrait les faire glisser en les poussant un peu pour que le regret de l'injustice du capitalisme se sente libéré . Mais non, on ne peut pas, car ils sont solidement attachés au sol de nos peurs de manquer d'inflation en tout mais pas en vertus . Seulement voilà, même cela n'est qu’une apparence.
Trois choses :en enlevant les apparences on peut se voir comme quelque chose d’étranger . Il y a une différence capitale entre' ce qui est “bon” et de “mauvais” à celle de “méchant”.
Oublier ce qu’on a vu de “bon” et de “méchant”.
En conserver le bénéfice pour le terme premier “bon”que l'on juge en mériter une récompense
Et simplement en la prenant , garder deux choses , que bon devenait de moins en moins crédible car la troisième englobe la seconde . En se sentant libérer de son devoir , on laisse place à la démesure , où on n'est plus sous notre contrôle mais de celui qui nous les tiens . Si nous arrivons à n'avoir qu'une volonté de plaisir , quand il tire alors il n'y aura plus de sursis, il nous les serre pour de bon au malheur de tous les jours , que nous ne pouvons plus être jugés par le dur de notre volonté d'irréductible , mais qu'Il n'y a aucune raison de supposer qu'il y en ai déjà eu une .




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