Najat Vallaud-Belkacem : « Ce n’est pas pour ce qu’il a fait ou pas fait que Pap Ndiaye quitte son ministère, c’est pour ce qu’il représente »

           

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Tout comme les Playmobil fatigués qu'on peine à abandonner, le renouvellement du gouvernement macroniste ne fait que masquer les profondes fissures de son fonctionnement. Tel un jeu de construction usé, on tente de créer de nouvelles structures, mais l'épine dorsale reste inchangée, entravant toute véritable évolution. Les promesses de renouveau sont comme des figurines sans vie, sans réelle substance ni pertinence. Le système persiste, répétant les mêmes erreurs et décevant ceux qui espéraient un souffle nouveau. Ainsi, telle une boucle monotone, le cycle du pouvoir se répète, laissant le sentiment amer que le changement n'est qu'une illusion lointaine, et les véritables aspirations du peuple se brisent comme des jouets délaissés dans l'ombre.


Article inaccessible.

Mais on va commencer par dire d'emblée : à peu près tout le monde se fout de sa couleur.
En revanche, ce que à peu près tout le monde réclame c'est :

- un retour vers des méthodes d'enseignement solides. Ça signifie un retour vers le socle en béton armé des maths et du français jusqu'en 6eme auquel accédaient les élèves de primaire jusque dans les années 70-80. A partir de là, tout est possible. On peut être riche, pauvre, immigré ou de souche, la base est bonne.

- L'abandon du bac pour 80% d'une classe. Cet objectif couplé au niveau catastrophique du premier point n'a donné que de la médiocrité pour "faire passer" le chiffre.

- Le retour de L'AUTORITÉ !!!! Qui passe par un renforcement de la hiérarchie.

Rien de tout cela n'a été couvert par Ndiaye.




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