Justine Triet, filmer pour capturer le présent

Une consécration à Cannes avec une Palme d’or pour « Anatomie d’une chute », un discours qui a fait polémique : rencontre avec la cinéaste dont les longs-métrages sont des « autoportraits ».

           

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Films pour quelques fauteuils.
Évidemment subventionnée par nous.
Encore et encore un film de mauvaise qualité qui nous est proposé par le festival de Cannes.
Festival de Cannes, moralisme et diversité : le cinéma�sous les assauts du politiquement correct.
S’il étouffe sous le politiquement correct et la tyrannie des identités, le septième art est condamné à s’étioler, s’affadir, s’autocensurer. L’art n’est vivant que s’il est transgressif, disruptif, s’il montre sans juger, s’il n’a pas peur de l’émotion, du parti pris, s’il est d’abord la vision d’un homme ou d’une femme. Espérons que le Festival de Cannes continue à défendre la création et qu’il ne se prenne pas les pieds dans le tapis rouge des nouveaux conformismes.
Là, un exemple indéniable.




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