Le Burkina Faso refuse d’approuver la nomination d’un nouvel ambassadeur français

La fin de non-recevoir opposée par Ouagadougou est un nouvel indicateur des relations exécrables entre Paris et la junte au pouvoir.

           

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Frederic Roy c'est du faux ,sur l'axe de bitou c'était des ivoiriens si étaient allé payé des véhicules au Togo et ils revenait .mon frère ce sont des voleurs et des bandits qui s'attaquent aux civils pour piller leurs biens.n'oublez pas que les terroristes ont commencé à camoufler leurs armes sous l'ère de Blaise Compaoré , malgré la présence des forces françaises comme partenaire ils n'ont pas vu ça,. oubien la France a joué double jeu.si aujourd'hui les gens vous disent que le terrorisme n'a pas reculer 65 dîtes à la personne que c'est faux, les terroristes ne peuvent plus venir attaquer à grand nombre, aujourd'hui le cauchemar des soldats Burkinabè ce sont les IED.sinon nous aimons les français c'est votre politique qui ne nous convient pas.


Bassana Hubert Bado pas la peine de te fatiguer avec les âneries du genre sans l'uranium et sans le pétrole vous êtes finis et bla bla bla.
L'occident peut se fournir ailleurs, tu vas le vendre à qui après ?
La France ne perdra pas grand chose en quittant l'Afrique, elle ne fait pas partie des pays qui investissent le plus.
La jeunesse africaine est naïve, vulnérable et sous informée, facilement manipulable et les putschistes en profite.
Les africains doivent faire le ménage dans leurs institutions.
Ou est l'argent des ressources vendus aux occidentaux ? Dans la poche de vos gouvernements corrompus ? Et bientôt dans la poche des putschistes ?


En Afrique, c'est coup d'état sur coup d'état, et les putschistes font toujours pire que les prédécesseurs, seulement pour la soif de pouvoir.
La jeunesse africaine est naïve, vulnérable et sous informée, facilement manipulable et les putschistes en profite.
Les africains doivent faire le ménage dans leurs institutions.
La France ne perdra pas grand chose en quittant l'Afrique, elle ne fait pas partie des pays qui investissent le plus.
Commenter les publications LCI avec des "sans l'afrique, la France n'est rien" ou "à bas la France" n'apportera rien.
La jeunesse africaine parle de la colonisation alors qu'ils n'ont jamais connus cette colonisation.
Il est temps de prendre ses responsabilités.


Issaka Zongo Les beaux yeux de Dame RDC >>> En RDC, Kolwezi la rebelle dévorée par ses mines
Capitale mondiale du cobalt, le chef-lieu de la province de Lualaba n’en finit pas d’être grignoté par l’exploitation industrielle du minerai, aux mains d’une entreprise chinoise. Fortune des miniers et désespoir des mineurs.

La ville allait poursuivre une descente aux enfers au rythme des errements de Mobutu Sese Seko, leader de la RDC (de 1965 à 1997) longtemps incontesté avant d’être chassé par les armes. Kolwezi et la Gécamines vivaient en symbiose. « Gécamines njo mama, Gécamines njo baba ! » « La Gécamines, c’est ma mère, la Gécamines c’est mon père », avait-on coutume de dire, rappelle le chercheur Benjamin Rubbers dans un long papier publié en 2006 dans les Cahiers d’études africaines décrivant l’effondrement, par étapes, du minier entre sa nationalisation par Mobutu en 1967 et le début des années 2000.

Victime d’un « cercle vicieux sans autre issue que l’écroulement de l’édifice (…), l’argent entrait et disparaissait aussitôt », analyse Benjamin Rubbers. L’entreprise est démembrée, vampirisée par Mobutu et son clan puis par les Kabila père et fils, présidents successifs de 1997 à 2019. Tous ont pioché dans la caisse, puis vendu l’entreprise par appartements au fil des ans. Aujourd’hui, la Gécamines ne produit quasiment plus rien.

Les Chinois ont mis la main sur les mines
Ce n’est plus elle qui fait la loi à Kolwezi. C’est sans elle que la ville est devenue la capitale mondiale du cobalt et un centre majeur d’extraction du cuivre. La renaissance de la ville remonte à la signature, en 2008, du « contrat du siècle », évalué à 6 milliards de dollars, signé entre l’Etat congolais et un consortium d’entreprises chinoises. L’accord leur attribuait des mines de cobalt et de cuivre en échange d’investissements dans les infrastructures. Quinze ans plus tard, le bilan est celui d’un fiasco. Les entreprises chinoises ont bien mis la main sur les mines. Ils contrôlent 80 % de la production de cobalt. Mais où sont les trente hôpitaux, les deux aéroports, les quelque 3 000 km de lignes de chemin de fer et les 7 000 km de routes qu’ils devaient construire sur toute l’étendue du pays ? Un rapport saignant de l’Inspection générale des finances, publié en février, estime que le « contrat du siècle » a abouti à une forme de « colonisation économique » de la part de la Chine.

« De toute façon, Kolwezi n’aurait rien eu de tout cela », souligne Charlotte Cime-Jinga, ancienne maire de la ville de 2008 à 2016. « Le Katanga cédait ses mines et d’autres en profitaient. Tout avait été décidé à Kinshasa sans y associer ni la ville ni la province », ajoute-t-elle. « En termes d’urbanisation, les Chinois n’ont rien fait. Ils se sont réfugiés dans les infrastructures construites par les Belges », confirme Marcellin Mukembé-Mubedi. Les empereurs du cobalt sont tapis dans l’ombre, calfeutrés dans quelques hôtels casinos neufs mais sans charme, dans leurs cités ou sur les sites miniers.

« Les rois de la corruption »
« Ils ont mis la main sur tout le business et ne partagent rien », se lamente un négociant, intermédiaire entre les creuseurs artisanaux et les transformateurs de minerais. Il n’y a pas si longtemps, cette activité faisait vivre des centaines de familles congolaises aux côtés d’hommes d’affaires libanais et indiens. « Il n’y a plus que des Chinois, eux ne paient pas beaucoup mais ils paient cash », raconte notre source qui a préféré lui-même s’associer à un partenaire chinois plutôt que disparaître. « Ils contrôlent toute la chaîne depuis l’exploitation, industrielle ou artisanale, jusqu’à la production de produits finis en Chine, sans même laisser de place à des sous-traitants locaux », se plaint un petit entrepreneur congolais.

« Surtout, ajoute-t-il, ce sont les rois de la corruption. » Or, il n’y a pas eu de miracles sur le plan de la gouvernance locale ou nationale. « Où va l’argent de la redevance minière que les entreprises versent aux entités territoriales décentralisées [ville, région…] ? », demande Jean de la Paix Mibangu, directeur général et créateur, il y a vingt-cinq ans, de la Radio communautaire libre (RCL). « L’Etat annonce des productions en hausse mais la population ne voit rien. Tout va dans les poches des nouveaux riches liés au pouvoir. Les autorités locales font gagner tellement d’argent à Kinshasa qu’elles sont intouchables », accuse-t-il.


Frederic Roy
ACCORD n⁰1:

LA DETTE COLONIALE POUR REMBOURSEMENT DES BÉNÉFICES DE LA COLONISATION.

C'est-à-dire que les États nouvellement indépendants doivent rembourser le coût des infrastructures construites par la France pendant la colonisation.
Nous cherchons toujours le détail des coûts, l’évaluation des bénéfices et des conditions de paiements imposés par la France aux pays africains.

ACCORD n⁰ 2 :

LA CONFISCATION AUTOMATIQUE DES RÉSERVES FINANCIÈRES NATIONALES.

C'est-à-dire que les pays africains doivent déposer leurs réserves financières auprès de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les réserves financières de quatorze pays africains depuis 1961 : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo, le Cameroun, la République centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la Guinée Équatoriale et le Gabon.

Ainsi, la gouvernance des politiques monétaires reste asynchrone et incomplète du fait qu’elle soit pilotée directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autorités financières des pays tels que CEDEAO ou la CEMAC.

Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des 14 pays des zones économiques et financières CFA , elles sont obligées de garder 65 % de leurs réserves de change dans un compte d’opérations tenu par le Trésor français, ainsi que 20 % supplémentaire afin de couvrir « les risques financiers ».

En plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crédit à chaque pays membre, équivalent à 20 % des recettes de l'état dans l’année budgétaire en cours , bien que le BEAC ou la BCEAO aient des possibilités de retraits supérieurs auprès du Trésor français. Ces retraits doivent faire d'abord l’objet de l’accord du Trésor français.
La décision finale revient donc au Trésor français qui a lui-même investi les réserves des pays africains sur la place boursière parisienne.

En d’autres mots, 85 % des réserves financières africaines, sont déposées sur un compte d'opération contrôlé par l’administration française.

Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne décident aucune des politiques monétaires par elles mêmes.
Le pire est que les pays eux-mêmes ne savent même pas quelle est la part de réserves financières qui leur revient.

ACCORD n⁰3 :

LE DROIT DE PREMIER REFUS SUR TOUTE RESSOURCE BRUTE OU NATURELLE DÉCOUVERTE DANS LE PAYS.

C'est-à-dire que la France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’après que la France ait dit: « Je ne suis pas intéressée », que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires.

ACCORD n⁰4 :

PRIORITÉ AUX INTÉRÊTS ET AUX ENTREPRISES FRANÇAIS DANS LES MARCHÉS PUBLICS ET APPELS D’OFFRES PUBLICS.

Dans l’attribution des marchés publics, les entreprises françaises ont la priorité sur les appels d'offres . Même si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix ailleurs.

En conséquence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers économiques des pays sont entre les mains des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics dont l’eau, l'électricité, le téléphone, le transports aérien, les ports et les grandes banques. C’est la même chose dans le commerce, la construction et l’agriculture.

ACCORD n⁰5 :

DROIT EXCLUSIF DE FOURNIR DES ÉQUIPEMENTS MILITAIRES ET DE FORMER LES OFFICIERS MILITAIRES DES COLONIES.

Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les « accords de défense » attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France et ont obligation de se fournir en équipements militaires avec la France.

ACCORD n⁰6 :

LE DROIT POUR LA FRANCE DE DÉPLOYER DES TROUPES ET D’INTERVENIR MILITAIREMENT DANS LE PAYS POUR DÉFENDRE SES INTÉRÊTS.

En vertu de ce qu’on appelle « les accords de défense » attachés au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entièrement gérées par les Français.

ACCORD n⁰7 :

L’OBLIGATION DE FAIRE DU FRANÇAIS LA LANGUE OFFICIELLE DU PAYS ET LA LANGUE POUR L’ÉDUCATION .

Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a même été créée. Elle s’appelle la « Francophonie » et possède plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliées et contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères.

ACCORD n⁰8 :

L’OBLIGATION D’UTILISER LE FRANC CFA (FRANC DES COLONIES FRANÇAISES D’AFRIQUE).*

Bien que ce système ne soit pas partagé par l’Union européenne, les colonies françaises sont contraintes à utiliser exclusivement le FCFA.

ACCORD n⁰9 :

L’OBLIGATION D’ENVOYER EN FRANCE, UN BILAN ANNUEL ET UN RAPPORT D’ÉTAT DES RÉSERVES . PAS DE RAPPORT, PAS D’ARGENT.

C'est-à-dire que le directeur des banques centrales des ex-colonies présente ledit rapport lors des réunions annuelles des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilé par la Banque de France et le Trésor français.

ACCORD n⁰10 :

RENONCER À TOUTE ALLIANCE MILITAIRE AVEC D’AUTRES PAYS, SAUF AUTORISATION DE LA FRANCE.

La plupart de ces pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs simplement par le fait que la France leur interdisait toute

ACCORD n⁰11 :

L’OBLIGATION DE S’ALLIER AVEC LA FRANCE EN CAS DE GUERRE OU DE CRISE MONDIALE


Jerome Ouedraogo "Une vingtaine de personnes ont été tuées dimanche 6 août au Burkina Faso lors d’une attaque de djihadistes présumés à Nohao, près de la ville de Bittou, dans la région du Centre-Est frontalière avec le Togo", "Une quinzaine de civils ont été tués ce mercredi 5 juin lors d’une attaque de jihadistes présumés dans l’est du pays, indiquent des sources sécuritaires et locales.", "Nouvelles attaques meurtrières au Burkina Faso. Vingt-deux civils, dont vingt supplétifs de l'armée, ont été tués vendredi dans deux attaques de jihadistes présumés dans le nord et l'ouest du pays, a appris l'AFP, samedi 8 juillet, de sources sécuritaires et locale.". C'est vrai que ça marche de mieux en mieux lol




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