Dmytro Kuleba, ministre ukrainien des affaires étrangères : « La Russie est devenue le plus grand ennemi de l’Europe »

A l’issue d’une visite à Paris, le ministre revient pour « Le Monde » sur l’évolution du conflit avec la Russie, l’Afrique et les dernières déclarations de Nicolas Sarkozy.

           

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Des gens bêtes parce qu'ils n'ont aucune idée de la Démocratie, de l'Intelligence Humaine, la Droiture Humaine ou de la Justice Humaine que la Nature Humaine a installée sur la Terre et dans chaque pays avant tout. Tellement idiots qu'ils ne connaissent pas la Loi, la Raison et la Constitution, les trois Règles de la Famille Humaine qui portent en elles à la fois l'harmonie, la concorde, l'égalité et l'unité de tous ses membres. La Démocratie interdit la gouvernance à tous ceux qui ignorent les trois Règles de la Famille Humaine. Il n'y a que des inintelligents qui font et entretiennent les guerres.


Alan Can Ah oui ? Et a votre avis, comment Poutine a t'il pu se faire bâtir un palais a plus d'un milliard ? Comment a t'il pu s'offrir deux yachts, l'un a plus de 100 millions, l'autre a plus de 600 millions ? C'est curieux, que vous tapiez toujours sur Zelensky, mais jamais sur Poutine qui depuis 23 ans a vole des centaines de milliards au peuple russe ! Informez-vous sur Poutine et la coopérative Ozero, Poutine et la banque Rossya, Poutine et les Pandora Panama Papers ! Informez-vous sur les marches publics de Saint-Petersbourg, que Poutine a tous accordé a la maffia !


Pierre-marie Vallez Avant même la guerre en Ukraine, la Russie avait commencé son travail de destruction de notre influence en Afrique. Votre rhétorique est celle de Moscou, la réalité c'est précisément que la Russie a tout intérêt, pour des raisons internes autant que pour des raisons externes, à s'opposer à l'Europe. Cette confrontation elle la recherche précisément parceque, faute d'être en mesure d'asseoir une influence économique décisive face à des pays comme la Chine ou les États-Unis, il ne lui reste plus que l'hypothèse d'un leadership politique vis à vis d'états du Tiers-Monde. Or ce leadership elle ne peut l'obtenir (ou pour se croire en mesure de l'obtenir) que par la confrontation avec l'Occident, modèle encore dominant quoi que fragilisé. Et faute d'être en mesure de se confronter à l'influence américaine (économiquement, technologiquement, etc... elle ne fait pas le poids face à Washington), elle s'attaque à la dimension la plus vulnérable de l'Occident en testant son unité politique et ses valeurs. L'Europe étant par nature divisée, traversée par des courants contradictoires, et également à l'est son ex sphère d'influence où elle dispose de relais (en Hongrie par exemple) , c'est une cible de choix pour la Russie.

Donc penser ne serait-ce qu'un seul instant que la guerre en Ukraine est la raison de cette hostilité est de la naïveté ou de la complaisance. La Russie a violé le mémorandum de Budapest qu'elle s'était engagée à respecter en 97 par l'annexion de la Crimée, puis elle a trouvé un autre prétexte pour tenter une invasion qui a lamentablement échoué. Elle peut bien se vautrer dans sa posture de victime grâce à de bons gros collaborateurs de votre espèces, il demeure que c'est ELLE, qui a sciemment visé l'Europe dès le départ. Si Poutine voulait jouer à la guéguerre avec les États-Unis, il pouvait trouver d'autres terrains de jeu. C'est bien parceque c'est l'Europe qu'il voulait atteindre qu'il s'en est pris à l'Ukraine.




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