L’été 2023, le plus chaud jamais mesuré, marqué par une litanie impressionnante d’événements climatiques extrêmes

Comme un avant-goût des décennies futures. Ou peut-être, déjà, les signes de l’installation d’une nouvelle normalité.

           

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Jean-Claude Porchier Ah non, ce n'est pas "très faible" ..On peut réduire ses consommations de carburants de 20% sans difficultés. C'est beaucoup -20 %. On peut manger par exemple 2 fois moins de viande sans que ce soit un gros sacrifice....On peut consommer moins de vêtements , de meubles, d'électronique...-20 % à -50%;, ce n'est pas "très faible"....Ce qui n'empêche qu'il va falloir aussi faire du report modal mais construire les infrasctructures adaptées, ça va prendre du temps.... L'un n'empêche pas l'autre. A force de dire "je fais rien tant que....", les consommations et les émissions ne baissent pas et ça c'est dramatique


Tout le monde est d'accord sur le constat (à part les habituels climato-sceptiques rétifs au raisonnement le plus élémentaire). Après, quand on parle d'agir, il y a des gens moins de monde. Et agir c'est réduire ses consommations de carburants : rouler moins, et quand on ne peut pas faire autrement, rouler moins vite (et oui) avec des petites voitures légères et sobres. C'est manger moins de viande, en particulier de viande bovine. C'est arrêter ces désastreuses modes de la fast-fashion, de la fast-déco.... C'est consommer moins de produits en général: les garder plus longtemps, les réparer..... C'est assez facile, en plus.


François Brionne mais enfin, tout passe par le net aujourd'hui quand je regarde ma télé sur ma box par exemple je consomme des données a fond , toutes les entreprises utilisent le net, toutes les administrations, de plus en plus de consommateurs achètent sur le net , , bref, nous sommes désormais dans une ère numérique et il est illusoire de croire que ce monde seras récessif

Pollution numérique en général
Le secteur numérique demande beaucoup d’énergie pour fonctionner, c’est un grand consommateur de ressources naturelles non renouvelables. Si Internet était un pays, il serait le 3ème consommateur mondial d’électricité après la Chine et les États-Unis . 7 à 10% de l’électricité mondiale serait consommée par Internet seul . Le problème est que les différents acteurs ne sont pas conscients de ce type de pollution et ses sources sont nombreuses.

Le mail est une façon rapide de communiquer de plus en plus démocratisé, mais son utilisation n’est pas sans conséquence pour l’environnement. S’il est accompagné d’une pièce jointe d’1 Mo, un mail émet 19 g de Co2. Cet impact pris individuellement est faible mais quand on sait que 34 millions mails sont envoyés toutes les heures sans compter les spams, les conséquences deviennent importantes . Cela correspondrait à l’équivalent de 14 tonnes de pétrole. Envoyer 12,3 mails par jour pendant un an (4 500 mails) pollue autant que parcourir 100 km en voiture (18kg de CO2 pour 100 km [8]). En effet, un mail consomme en moyenne 4g de CO2 . Si un individu envoie une douzaine de mails par jour pendant un an, il consommera un total de 17,9 kg de CO2.

Le plus étonnant dans tout ça c’est que 75% des emails reçus sont des spams . Cela explique que 80% des mails ne sont jamais ouverts . Les boîtes mails sont saturées et polluées de messages qui ne vous intéressent pas. Un Français recevrait, en moyenne, 936 newsletters par an . Leur envoi et leur stockage consomment énormément d’énergie. Cela représente plus de 9 kg d’émissions de C02 par an. [




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