L’interdiction de l’abaya à l’école en débat au Conseil d’Etat

La plus haute juridiction administrative a examiné mardi une requête de référé-liberté de l’association Action droits des musulmans visant la note de service du ministère de l’éducation du 31 août qui interdit le port de l’abaya et du qamis à l’école.

           

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Raoul Duke nous avons des siècles de culture religieuse chrétienne, qu'on apprécie celà ou non, nous sommes aussi un pays laïc par les voies institutionnelles, et toutes ces voies ont conduit la France à être le pays de la tolérance, dès l'instant que cette tolérance est admise et acceptée par tous. Dans ce cadre, la religion, mais aussi tout autre principe communautariste relève du domaine privé, tout signe ostentatoire d'appartenance à des communautés diverses et variées ne présente aucune signification. La France peut et doit être le pays de la diversité communautaire, religieuse, philosophique, culturelle..., mais dans le cadre d'une seule réserve, celle de l'appartenance à la nation et à des valeurs essentielles communes.
Il n'y a pas besoin de conseil d'état avec des corrompus désignés comme François Bayrouth pour le dire, cela relève du seul esprit républicain légué par les anciens.


Dominique Pastol Une des missions du Conseil D'état est de juger des litiges entre citoyens et administrations . C'est la plus haute juridiction administrative de France . Il peut être saisi directement lorsque la mesure contestée provient d'une autorité ayant compétence à l'échelon national ( Président ,gouvernement ,ministres ...)
L'interdiction de l'abaya a été signifié par note administrative en se référant au code de l'éducation sur les signes religieux en milieu scolaire .
Il est donc parfaitement dans le rôle du Conseil d'Etat de décider si cette note est conforme à l'esprit et la lettre de la loi de 2004 et sa rédaction suffisamment claire pour ne pas entraîner de dérives .
Abaya ou autre sujet tout citoyen est en droit de porter devant le Conseil d'etat toute contestation sur un acte administratif ...et une note de ministre est un acte administratif .


Denyse Gaido
"on a effacé tous signes religieux "
En pratique, on reste très loin de cette "vérité"

"je persiste les femmes sont gommées"
c'est inadmissible, mais les musulmans ne constituent qu'une minorité visible dans cette invisibilité systémique des femmes.
Il faut dont tempérer cet acharnement hypocrite.

". il suffit de regarder autour de soi c'est tout"
C'est faux. Il faux se baser sur des réalités sociologiques développées par les sociologues. Le reste n'est qu'allégation de café du commerce.

"complot ?? ou pas complot !!! ce n'est pas la question"
Bien sûr que c'est la question. Puisqu'on invoque une provocation à grande échelle qui serait orchestrée par des sphères secretes.


Faudrait tout de même cité que cela et là fautes des précédent politiciens de l'éducation nationale de France de vouloir toujours changé les chose
Les écoliers avait à l'époque une blouse, ou un uniforme pour tout le monde pareil et les règles scolaires respecte à nos professeur aujourd'hui tout et foutus dans ces enseignement faux pas se plaindre aujourd'hui
L'éducation nationale n'a qu'à remettre les uniformes la baya n'a pas à être dans l'école et lycée
C'est des vêtements qui peuvent porté hors des institutions scolaires c'est tout de même représentant la différence et religions qu'ils représente cela se respecte mais hors de l'éducation nationale


Au Conseil d’État en proportion de femmes c'est:
- 3 femmes présidentes de sections consultatives et 4 hommes
- Les « maitre des requêtes en service extraordinaire (MRSE) » sont à 50 %
- Les « conseiller d’État en service extraordinaire (CESE) » sont à 35,7 %
- Les femmes représentent 65 % des agents de niveau cadre (catégorie A)
- La parité est quasi acquise pour les emplois de directeurs (4 hommes, 3 femmes), de chefs de département (7 femmes, 6 hommes) et de chefs de bureau (17 femmes, 16 hommes).

Dans les cours administratives d’appel, les tribunaux administratifs :
- 32 femmes greffières en chef et 15 hommes et parmi ces 32 femmes greffières en chef, 17 l’exercent dans les juridictions les plus importantes contre 5 hommes,
- La parité est quasi atteinte chez les magistrats avec un taux de féminisation de près de 48 % en 2020
- 40 % des juridictions sont présidées par des femmes.

L'article est donc trompeur voir calomnieux.




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