Comment la « kalach » est devenue l’arme fétiche du narcotrafic

La banalisation de ce fusil d’assaut dit beaucoup d’une époque où le marketing est appelé à tout gouverner, jusqu’à la mort donnée au hasard d’une volée d’ogives de calibre 7,62 tirée en rafale. Davantage qu’un fusil d’assaut réputé pour sa fiabilité et sa robustesse, la kalachnikov est aussi devenue une référence de la sous-culture du trafic de drogue, au même titre que l’argot ou certaines marques de vêtements.

           

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En aucune manière le renforcement des forces de l'ordre en effectif et en matériel n'est là pour arrêter cette dérive de violence et d'équipement guerrier tout azimut . Le trafic est un marché en tant que telle pour un libéral , ce n'est pas un principe contradictoire . Pour rappel , plus de 300 000 armes ont été récupérés au cours d l'opération de désarmement de la population civile dont des pièces de collection mais combien d'armes des zones d'activités de la drogue ?. Tout est à craindre de la fin du conflit russo-ukrainien pour la circulation des armes interdites sur le marché noir !




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