1ºВіталій Волік Il serait peut-être bien que tu te renseignes sur un domaine plutôt sympa, qui s'appelle la géographie... Tu verras que l'URSS avait une frontière avec l’Afghanistan. La crainte des Soviétiques de voir une extension du pouvoir islamiste radicale sur leur territoire était donc parfaitement justifiée; Par contre, là encore, un petit coup d'oeil sur l'aspect géographique permet de voir qu'entre les USA et l'Afghanistan, y'a "pô bôcou" de frontières, de même entre l'Afghanistan et la France. Pourtant on a été là bas, on a dépensé l'argent public et à la fin, on est revenu tête basse avec la queue entre les jambes...
2ºВіталій Волік Oui " Mykola Lebed (en ukrainien Микола Лебідь) dit Maksym Ruban, Marko ou Yevhen Skyrba est un nationaliste ukrainien né le 11 janvier 1909 et mort le 18 juillet 1998.
Biographie
Impliqué (avec notamment Stepan Bandera) dans l'assassinat du ministre de l'Intérieur polonais Bronislaw Pieracki, en 1934 pour lequel il fut condamné à mort puis à la prison à vie, avant d'être libéré par l'attaque allemande contre la Pologne1. La Gestapo entraîna Mykola Lebed et les bandéristes au sabotage, à la guérilla et aux assassinats à Zakopane. Mykola Lebed supervisa personnellement les tortures et les exécutions de Juifs pour endurcir ses hommes2. En tant que leader de l'OUN-B, il est responsable de massacres à l'encontre des Juifs et des Polonais de Volhynie et de Galicie3.
Bien qu'un rapport du Counter Intelligence Corps dévoile son passé de « bourreau bien connu et de collaborateur des Allemands »4, Mykola Lebed émigra aux États-Unis et vécut à New York où il travailla avec la CIA jusque dans les années 1960, pour fournir à celle-ci des renseignements par l'intermédiaire de sa société Prolog Research Corporation5.
3ºClaude Jourdain : Du délire...Le monde entier- Occident excepté- sait que le problème au Moyen-Orient s'appelle Israël d'abord et ses sponsors ensuite. Que les Palestiniens soient athées, bouddhistes ou chrétiens ne changerait pas grand-chose à leur sort étant entendu qu'Israël cherche, ni plus ni moins, qu'à les expulser de leurs territoires. L'OLP, bien plus laïque que l'actuelle gouvernement israélien composé de mollahs version juive et de supra-racistes, n'en a pas moins souffert de l'arbitraire israélien que les actuels gazaouis. Par contre, le soutien unique des Occidentaux à Israël exaspérera davantage le reste du monde. Qu'importe la cause d'ailleurs, du moment que les Occidentaux se sont seuls à soutenir hystzriquement celle-ci, cette cause devient suspecte. Quand au pays arabes, l'immense majorité des populations soutient les Palestiniens.
4ºClaude Jourdain Avant 1948, il y avait des Juifs en Palestine. Il n'y avait pas de confrontation Musulman / Chrétiens / Juifs. Ce sont les Sionistes qui sont arrivés avec un projet politique qui utilise la foi comme argument et produit cette confusion, masquant le fait qu'il existe des Juifs (au sens religieux) qui sont en faveur des Palestiniens et d'un seul pays où tout le monde vivrait en harmonie. Cherche sur Google "juifs anti-sioniste" et tu verras pas mal de document là-dessus, avec des mouvements fondamentalistes Juifs tels que les Neturei Karta qui sont pour la dissolution de l'état d'Israel. Comme sur Le Monde, on ne peut mettre de lien, il faut un peu chercher mais il y a 2 vidéo absolument extraordinaires sur ce sujet. Tu les trouveras sur Youtube en cherchant "Why Are Palestinian Christians Leaving Jesus’ Birthplace?" qui te donnera accès à une vidéo sur les Chrétiens Palestiniens vivant sous l'occupation Israélienne. L'autre Vidéo qui elle est absolument fantastique, tu la trouvera en cherchant "Message to the Israeli people"...
5ºSalah Kabi Pas si sûr... Tous ces groupes de terroristes islamistes sont incontrôlables. Cela ne plaît pas à grand monde même aux géants des Bricks tels l'Inde ou la Chine qui détestent l'instabilité et sont peu portés sur l'islam (euphémisme). L'Inde soutient Israël. Et pour cause. Les suprémacistes chrétiens orthodoxes kremlinois ne peuvent ignorer que leur nation compte plus de 20% de musulmans et que leur frontière Sud est bordée par des républiques islamiques (bombe à retardement). L'Arabie Saoudite, l'Egypte, les EAU ne voient pas ces groupes d'un bon oeil non plus (autre doux euphémisme). Le paradoxe veut que ces pays deviennent des alliés objectifs de l'infâme Occident ! Quant au Sud Global, il est du registre de la blague...
6ºAlexandre Kastals Je te propose un petit exercice de réflexion: pourquoi voudrait-il envahir l'Ukraine? Il n'y a absolument aucune information qu'elle soit écrite, visuelle, orale en provenance de la Russie et confirmant cette idée. A chaque fois que l'on cherche d'où cela vient on découvre une "petite odeur de fake news occidentale", ceci ayant eu pour but d'attribuer aux Russes des objectifs qu'ils n'ont jamais eu. Simplement pour dire ensuite qu'il ne les ont pas tenus, ceci afin de rassurer le camp Européen et éviter qu'il ne se débine devant le danger.
Ceux qui avaient un but, ce sont les USA et leurs alliés, qui arment et entraînent l'Ukraine depuis presque 10 ans (cf. le contrat Unifier dont tu peux lire les détails sur le site du Ministère de la Défense du Canada). Le but était de récupérer le Donbass afin d'empêcher que les Russes ne prennent entièrement possession de la Mer d'Azov, mer hautement stratégique car permettant de protéger l'arrière de la Crimée, faire du commerce entre les régions industrielles du Donbass et la Russie et surtout permettant de créer un lien entre la flotte de la Mer Caspienne et la flotte de la Mer Noire, en faisant transiter les navires par le Canal Don-Volga, tout ça sans quitter le territoire national.
Pour les Russes, aller jusqu'au Dniepr, c'est suffisant. Le reste du pays ne présente pas d’intérêt. Comme les USA se rendent compte que la Mer d'Azov, c'est raté, ils commencent à se demander comment faire pour lâcher l'Ukraine...
7ºВіталій Волік Sauf que non. Le problème permanent ce n'est pas la Russie, mais les USA. Leur méthode est toujours la même: je vais te voir et je te dis que ton voisin a dit que tu étais un andouille. Ensuite je vais voir ton voisin et je lui dit que toi, tu le traites d'andouille. Ensuite je te vend un fusil, puis je vais voir ton voisin en lui montrant une photo de toi avec le fusil et je lui dis "Tu vois, ce mec a un fusil, je vais t'en vendre un"....
Et si ça suffit pas les USA font avec ton voisin (ou avec toi) comme avec un chien attaché: on lui lance des pierres pendant des mois. Le jour où le chien casse sa laisse et vient mordre, on dit "je vous avez bien dit que ce chien était dangereux"...
Si tu as un petit de curiosité, cherche sur Youtube "Message to the Israeli people" et tu verras une vidéo dans laquelle tout est bien expliqué. Les USA n'aiment pas les Juifs. Pour le USA les Juifs sont une sorte d'outil, comme les Ukrainiens. Réfléchit 30 sec: en Mars 2022, un protocole de paix avait été signé entre Kiev et Moscou. C'est Washington qui a dit à Kiev de ne pas le respecter.
Pourquoi? le protocole était en 4 points: laisser la Crimée aux Russes, rendre Donesk et Louhansk indépendants, ne pas rentrer dans l'OTAN, et demilitarisation. En cas d'élection, ni la Crimée, ni Donesk, ni Louhansk ne voteront Zelensky. Pour l'Ukraine ce sont des territoires à problèmes, qui sont le siège d'une farouche opposition politique. Economiquement, l'Ukraine se tourne vers les céréales or le Donbass est industriel. Du moment que Kiev garde Odessa pour l'export, tout va bien. En clair, aucun intéret de récupérer ces territoires. Entrer dans l'OTAN? pourquoi faire. L'Ukraine a participé à toutes les manoeuvres, depuis des annés l'OTAN entraîne les Ukraniens et au moment d'apporter de l'aide, hop, plus personne... Ah, pour du matos, qu'il faudra ensuite payer, là OK. Mais le reste? Et puis maintenant sur le terrain les Ukraniens ne suivent plus les directives OTAN car sur power point ça marche mais pas sur le terrain...
En fait les seuls intéressé par le fait que les Ukrainiens se battent (et meurent!) ce sont les USA. Ce qu'ils voulaient c'est reprendre le Donbass pour empêcher les Russes de s'emparer de la Mer d'Azov car cette mer communique avec la Mer Caspienne et permet aux Russes de déplacer leur flotte tout en restant sur le territoire national. Et en plus, avec le mer d'Azov, Moscou protège la Crimée.
Pour Kiev, tout ça n'a pas de sens. C'est Washington qui tire les ficelles.
8ºValery Jenneau Effectivement, c'est du long terme " Entre l'Iran et l'EI, le ministre israélien de la Défense choisit l'EI
Dans la presse
Si la Syrie devait tomber, il serait préférable que ce soit aux mains du groupe jihadiste, a déclaré Moshé Yaalon selon le Washington Post.
OLJ 21/01/2016
Le ministre israélien de la Défense, Moshé Yaalon, l'a dit tout net : "Si je devais choisir entre l'Iran et l'Etat islamique, je choisirais l'Etat islamique". C'est ce qu'il a déclaré à son audience lors d'une conférence à Tel Aviv le 19 janvier, rapporte le Washington Post.
L'ancien chef d'état-major, en poste à la Défense depuis 2013, et qui s'adressait à l'Institute for National Security Studies' (INSS), a estimé que l'Iran avait de plus grandes capacités que le groupe jihadiste et restait ainsi le plus grand danger pour Israël, poursuit le Washington Post. Moshé Yaalon a même affirmé que "si la Syrie devait tomber, il serait préférable que ce soit aux mains de l'EI plutôt que de l'Iran ou l'un de ses alliés".
"Nous croyons que l'EI sera au final détruit sur le terrain, surtout après les pertes qu'il a subies et les frappes contre ses réserves de pétrole", a déclaré le ministre israélien, toujours selon la même source. Il a également affirmé qu'Israël avait des intérêts communs avec les puissances sunnites de la région, qui sont elles aussi menacées par l'Iran chiite.
Israël est de plus en plus préoccupé par le rôle de l'Iran dans la région, surtout après la conclusion en juillet de l'accord avec les puissances occidentales sur son programme nucléaire. Cet accord est entré en vigueur le 17 janvier. Le lendemain, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a fait savoir que son pays ne "permettrait pas à l'Iran de se doter de l'arme nucléaire".
Âgé de 62 ans, Moshé Yaalon est considéré comme un partisan d'une ligne dure sur la colonisation -il s'est opposé au retrait israélien de Gaza en 2005. Le 15 novembre dernier, M. Yaalon avait appelé l'Europe à voter des lois "permettant une lutte plus efficace contre le terrorisme", en réaction aux attaques perpétrées à Paris qui ont fait 129 morts. Plusieurs cellules liées à l'EI ont été démantelées en Israël durant les derniers mois, selon les autorités.