« Le Temps du monde », de Francis Wolff : métaphysique de l’énigme ultime

Dans une enquête impressionnante, le philosophe forge une nouvelle conception du temps, centrée sur l’idée d’un « maintenant » en mouvement perpétuel.

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/739404058220892

Francis Wolff nous parle de philosophie. Mais approfondirait il sur les notions de réalité pour décortiquer plus profondément sa pensée ? A-t-il un développement intime de pensée méditative en lui-même lui permettant de distinguer sa pensée discursive (liée à son vécu, sa culture, ses affects) de l'imaginaire construisant son échafaudage de pensées ? Son imaginaire est-il en phase avec le monde qui l'a crée lui même au point de réaliser l'origine de son état d'être de réalisation ? Tout ces enchevêtrements de déductions soit disant logiques ne l'éloignent ils pas irrémédiablement de la nature même du non né , ne connaissant pas lui-même cette nature ?.
Dire que l'instant est permanent est basique. Cela peut même nous sembler à tous évident. Vouloir découvrir (pour le définir) le "non né", origine de l'instant, ne peut être qu'une démarche de philosophie spirituelle intime ne se traduisant pas par le langage. Les mots ne peuvent exprimer le non né. Le bigbang est un concept, il n'est pas le non né. Concepts et dogmes appartiennent à la même forme de pensée discursive.
Cela incite à penser que philosophes, physiciens, mathématiciens ou autres religieux de la pensée humaine sont, pour la plupart, des personnes en quête (surtout) de tranquillité mentale.
Nous nous positionnons en général dans une recherche de bonheur ne pouvant toutes fois atteindre une vérité que l'on qualifierait d'absolue. Nous marchons aux sentiments.




+