1ºForest Mountain La discrimination dans la législation, qui limite leurs droits en matière de mariage, de divorce, d’emploi, de succession et d’accès aux fonctions politiques
L’obligation de porter le hijab, qui est imposée par la police des mœurs et qui peut entraîner des amendes, des arrestations, des violences et même la mort.La répression des mouvements de protestation, qui vise à étouffer les revendications des femmes pour plus de liberté et de justice
L’exclusion des instances internationales, qui limite leur capacité à faire entendre leur voix et à bénéficier de la solidarité mondiale non, ce n'est pas la même forme, de persécution pour ta réponse bien sûr..
2ºFabien Querlier "Penses-tu que Israël, c'est la "France" ? Penses-tu que tu vas commettre des" attentats "chez nous et qu'il n'y aura aucune "conséquence" ? Si tu viens chez nous( commettre des attentats,) on te" massacre. Israël, "ce n'est pas la "France". Toi qui parles de "génocide"?, parle-moi du "génocide arménien", parle-moi du "génocide kurde également," parle-moi aussi du "pogrom de Hébron". Parle-moi de tous les "chrétiens persécutés dans les pays du Moyen-Orient,"? parle-moi des "300 000 familles chrétiennes irakiennes exécutées "sur le champ. Parle-moi également de tous les "attentats" qui ont eu lieu en" France et en Europe," commis au nom" d'Allahu Akbar. "Si tu veux parler de "génocide", tu es très mal tombé avec moi. La différence entre toi et moi, c'est que moi, j'ai ouvert des livres d'histoire. Tes frères qui" subissent un génocide" sont les mêmes qui sont rentrés en" Israël le 7 octobre", qui ont "violé des enfants", commis des massacres dans des" crèches et des EHPAD, "et tiré à bout portant sur des" femmes non armées." Maintenant, à l'heure actuelle, ils pleurent, marchent tout nus dans les rues de" Gaza." Tu comprends, il faut que tu arrives à comprendre que" Israël n'est pas la France, "ce n'est pas l'Europe. Tu ne fais pas ce que tu veux en Israël. Si tu viens chez moi commettre des attaques, tu le regretteras toute ta vie."
3ºAli Arbib Le gouvernement algérien persécute les Kabyles pour plusieurs raisons, qui sont liées à l'histoire, à la politique et à l'identité
Le gouvernement algérien refuse de reconnaître la spécificité culturelle et linguistique des Kabyles, qui sont majoritairement berbérophones et revendiquent leur héritage amazigh (berbère). Il impose l'arabe comme langue officielle et unique, et réprime les manifestations et les mouvements qui demandent la promotion du kabyle et du tamazight Le gouvernement algérien craint le développement du mouvement indépendantiste kabyle, qui réclame le droit à l'autodétermination de la Kabylie et la création d'un État souverain. Il considère ce mouvement comme une menace pour l'unité et la stabilité du pays, et le combat par tous les moyens : arrestations, procès, tortures, intimidations, infiltrations, etc.Le gouvernement algérien cherche à affaiblir et à diviser les Kabyles, qui ont joué un rôle important dans la lutte pour l'indépendance de l'Algérie contre la France coloniale, mais qui ont été marginalisés et exclus du pouvoir après 1962. Il favorise le clientélisme, la corruption, le népotisme et le régionalisme pour créer des divisions internes au sein de la société kabyle Le gouvernement algérien néglige le développement économique et social de la Kabylie, qui souffre d'un manque d'infrastructures, de services publics, d'emplois, d'éducation et de santé. Il laisse la région dans un état de pauvreté, de précarité et de frustration. Il profite des richesses naturelles de la Kabylie, comme le pétrole, le gaz ou les forêts, sans en faire bénéficier les populations locales Le gouvernement algérien laisse se propager la violence et l'insécurité en Kabylie, qui est confrontée à la présence de groupes armés islamistes radicaux, qui sèment la terreur et commettent des attentats contre les civils et les forces de l'ordre. Il utilise parfois ces groupes comme des instruments pour discréditer ou éliminer les opposants kabyles. Il est aussi accusé d'être responsable ou complice des incendies criminels qui ont ravagé la Kabylie en août 2021, causant des centaines de morts et de blessés, et détruisant des milliers d'hectares de forêts