Covid-19 : huit contaminations sur dix résultent d’une exposition de plus d’une heure à une personne infectée

Pour la première fois, une étude répond de manière précise à la probabilité d’être infecté par le virus SARS-CoV-2 après avoir été exposé à une personne contaminée.

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/741423058018992

Esther Dumas votre avis est ce normal l y a une petition sur le site de l'assemblée nationale 3 1635 signataires pour le moment
Marie-Pierre TONDELLA 07/11/2023 Identifiant: N°1994
.Abrogation des obligations vaccinales extrait Or cet article 49 stipule au paragraphe V « Une évaluation de l'impact de l'élargissement des obligations vaccinales est réalisée par le Gouvernement chaque année à compter du dernier trimestre 2019. Elle est rendue publique.
Cinq ans plus tard, malgré la demande de la part de la LNPLV, aucun document n'a été transmis. Ces évaluations existent-elles ? Pourquoi ne sont-elles pas communiquées
Comment dès lors examiner les impacts sanitaires, sociaux, sociétaux, environnementaux et financiers de ces nouvelles obligations ? Impossible de vérifier si c'était une bonne décision pour nos enfants.


Denyse Gaido
Au cas où vous ne le sauriez pas

si 95% de la population est vaccinée, les personnes non vaccinées peuvent également bénéficier d'une protection contre certaines maladies infectieuses. La raison en est simple: avec un nombre aussi élevé de personnes vaccinées, l'agent infectieux ne dispose plus d'un réservoir suffisant pour se multiplier et se propager. Sa propagation est ainsi bloquée. Ce phénomène est appelé "immunité de groupe".

Valable dans toutes les maladies
C est ainsi qu on a éradiqué la variole maladie mortelle
Et que l on s est débarrassés " de plusieurs autres maladies infectieuses, également en voie d'éradication. La poliomyélite - couramment appelée "polio" - et la rougeole. Pour ces maladies aussi, "l'arme absolue est la vaccination",


Esther Dumas
Didier Raoult
On est les gentils !
'' Toute vérité passe par trois étapes : elle est toujours ridiculisée puis violemment combattue avant d'être acceptée comme une évidence '' Schopenhauer .
Jean François Delfraissy reconnaît qu'il s'est trompé sur l'efficacité du vaccin Covid 19 sur la transmission (qui n' avait pas été évaluée par Pfizer) télématin interview d' actualité du 24/10/23. D'ailleurs la révélation du contrat secret de Pfizer avec l'Afrique du sud montre qu'ils ne s'engagent ni sur l'efficacité ni sur les effets secondaires. Cette erreur a justifié des mesures autoritaires et liberticides.
C'est bien de reconnaître ses erreurs, ceux qui ont utilisé les réseaux sociaux pour contester cette efficacité ont été traités d'antivax et de complotistes. Ceux qui utilisent si facilement des catégorisations stupides vont-ils aussi s'excuser ?
Pfizer reconnaît à présent de rares cas de myocardites. AstraZeneca induisait des thromboses cérébrales chez les femmes et est retiré de nombreux pays ! Ces effets secondaires graves ont été niés depuis longtemps par la presse officielle. Twitter X est, et a été, un des réseaux permettant de contourner une censure imbécile et d'informer réellement.
Vive X et à bas les censeurs !


Esther Dumas VOUS parlez des personnes complétement vaccinées ,il me semble que les vaccinées sont en plusieurs catégories en nombre de dose ,pourquoi si ces documents sont a disposition pourquoi cette réponse du ministre Pour faire la lumière et éviter la suspicion L'association BonSens a fait une intervention volontaire dans le cadre de l’action de Laurent Toubiana sur les données de mortalité et d’hospitalisation toutes causes confondues selon les tranches d’âge en fonction du statut vaccinal.
Le ministère se retranche derrière des arguments fallacieux pour éviter de les donner. BonSens réagit.
Dans un mémoire en défense, le ministère de la Santé invoque successivement que les données ne seraient pas disponibles, puis que cela viendrait déranger les services d’analyses puisque cela représenterait un travail complexe de 15 jours d’un équivalent temps plein__________La surmortalité des personnes jeunes est constaté partout sur la planète notamment dans les pays qui ont vacciné massivement


Esther Dumas Pourtant tous vaccinés tous protégé ,Hélène Banoun
Au Royaume-Uni, les non vaccinés représentent 30 % de la population Pourtant, ils représentent moins de 3 % des décès au Royaume-Uni.
Hélène Banoun
Comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, les cohortes vaccinées présentent un risque de fausse couche multiplié par deux. Hélène Banoun
Le mépris qu'affichent en France les autorités pour les victimes des "vaccins" Covid se traduit en chiffres!
Dover63
1,5 millions € ? En France c'est 1000 € pour un utérus ?...
"Un étudiant en soins infirmiers au Danemark qui est tombé malade chronique après avoir reçu le vaccin contre le covid d'Astra Zeneca reçoit 11 millions de couronnes danoises en compensation."


Raoul Duke
franceinfo : Le vaccin contre le Covid-19 a-t-il vraiment été efficace ?
Mathilde Fontez : C’est une question qu’on peut se poser tant le variant Omicron s’est répandu rapidement depuis la fin 2021. Et les contaminations restent encore aujourd’hui assez hautes : 50 000 nouveaux cas par jour en moyenne, tout de même. Mais il n’y a pas de doute : ça aurait été largement pire sans le vaccin.
Une étude, qui a été menée aux États-Unis l’établit clairement. Cette étude se distingue par son ampleur : elle rassemble les données de 80% de la population américaine, 300 millions de personnes, sur toute l’année 2021. C’était donc les variants Alpha et Delta. 30 millions de cas ont été dénombrés sur cette année 2021, et près de 440 000 décès.
Qu’est-ce qui se serait passé si la population n’avait pas été vaccinée ? Les chercheurs ont pu faire le test, parce que la couverture vaccinale était très variable d’un endroit à l’autre aux États-Unis. Ils ont fait des comparaisons.

Et alors, bilan ?
Le bilan, c’est que chaque tranche de 10% de population supplémentaire vaccinée, par au moins une dose, fait chuter le taux de mortalité de 8%.Ce qui veut dire que la vaccination massive – le passage de 10 à 60% de vaccinés – a fait chuter la mortalité de 75%.

On rappelle qu’en France, 80% de la population a une vaccination complète. Et le vaccin a aussi réduit le taux d’incidence, le nombre de nouveaux cas : il est réduit de 7% par tranche de 10% vaccinée. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : on est proche des évaluations qui étaient sorties des essais cliniques, réalisés au moment de l’élaboration des vaccins.


Esther Dumas Meme lui a tout faux par contre vous qui n'etes ni médecin ,ni chercheur ,vous savez que le PR raoult qui a dirigé l'IHU équipé d'un laboratoire P3 et 800 personnels A dérapé le prochain nobel est certainement pour vous
Dr Stéphane GAYET Médecin sans activité privée, infectiologue hygiéniste, praticien hospitalier honoraire, Hôpitaux universitaires, chargé d'enseignement universitaire Strasbourg

En principe, lors de la survenue d’une nouvelle épidémie virale respiratoire à un agent infectieux encore inconnu, on identifie au plus vite ce nouveau virus, on isole les personnes malades — qui présentent des signes cliniques et que l’on confirme biologiquement —, on soigne les malades avec les médicaments efficaces dont on dispose — antibiotiques en cas de surinfection bactérienne ou de coopération virus-bactéries — (généralement anciens), et, lorsque l’épidémie est terminée, on cherche à mettre au point un vaccin pour prévenir d’éventuels épisodes épidémiques à venir.
Or, avec la CoVid-19, tout s’est pratiquement déroulé à l’envers : on avait déjà le « vaccin », on a fabriqué un virus chimérique en laboratoire, on a empêché les médecins de soigner efficacement les malades et on a isolé tout le monde.
Qui doit-on remercier ? Ah, j’oubliais : « Nous sommes en guerre ».


Clotilde HR Vous pouvez rajouter l'excellent site ou est mon cycle avec les témoignages vécus ça porte à réfléchir sur la baisse de la natalité ,les fausses couches et autres ;si on appliquait le principe de précaution on arrêterait immédiatement la vaccination des femmes enceintes ,Dr Kimberly Biss (usa)partage des données alarmantes sur la fertilité lors de l'audience sur les "blessures causées par les vaccins COVID"
"D'après ce que j'ai vu, mon taux moyen de fausses couches en 2020, d'un mois à l'autre, était de 4 %. C'était normal... Mon taux de fausses couches d'année en année a augmenté de 100 %. En 2021, le taux moyen de fausses couches , d'un mois à l'autre, était de 7 à 8 %. Nous avons atteint un sommet en novembre de cette année-là pour une raison quelconque. C'est en fait à ce moment-là qu'un membre du personnel non clinique est venu vers moi et m'a dit : "Dr Bis, vous réalisez que nous avons J'ai eu huit fausses couches ce mois-ci", ce qui dans un cabinet qui accouche de 20 à 25 patientes, c'est un chiffre énorme. En 2022, le taux mensuel moyen était de 15%. Maintenant, c'était jusqu'en novembre. Je vais vous dire en décembre. Je n'ai jamais vu cela auparavant. Nous avons eu 41 patients nouvellement enregistrés. 13 d'entre eux ont perdu leur bébé. Cela fait donc 25 %


Jean-paul Carcelero
Vos sources ???

"Neuf fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus

Exploitation des appariements entre les bases SI-VIC, SI-DEP et VAC-SI jusqu’au 31 octobre 2021

Entre le 25 et le 31 octobre 2021, le nombre de tests RT-PCR positifs pour 100 000 habitants de 20 ans ou plus continue d’augmenter. Il s’élève à 155 pour 100 000 habitants non vaccinés (contre 133 la semaine précédente), et 38 pour 100 000 habitants vaccinés de 20 ans ou plus (contre 31). Il y a ainsi 4 fois plus de tests positifs parmi les personnes non vaccinées que parmi celles complètement vaccinées de 20 ans ou plus, à taille de population comparable.

Entre le 25 et le 31 octobre 2021, le nombre d’entrées en soins critiques pour les personnes non vaccinées est stable : il est de 29 pour 1 million de personnes non-vaccinées de 20 ans ou plus (contre 29 pour 1 million la semaine précédente). Ces dernières représentent 51 % des admissions en soins critiques et 44 % des admissions en hospitalisation conventionnelle, alors qu’elles ne sont que 11 % au sein de l’ensemble de la population des 20 ans ou plus. Chez les personnes complètement vaccinées en revanche, le nombre d’entrées en soins critiques est en augmentation : il atteint 3 pour 1 million de personnes complètement vaccinées ; cette population représente 42 % des personnes admises en soins critiques et 48 % des personnes admises en hospitalisation conventionnelle alors qu’elle représente 86 % de la population des 20 ans ou plus. Ainsi, à taille de population comparable, il y a environ 9 fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus.

Par ailleurs, entre le 4 octobre et le 31 octobre 2021, on comptabilise 52 décès pour 1 million de personnes non vaccinées de 20 ans ou plus contre 6 pour les personnes complètement vaccinées. Il y a donc environ 9 fois plus de décès chez les personnes non vaccinées que chez les personnes complètement vaccinées à taille de population comparable durant la période considérée.

Les résultats nationaux des appariements ainsi que des déclinaisons régionales et par classe d’âge sont mis à disposition sous forme de graphiques en format pdf et de fichiers csv permettant d’exploiter plus finement les résultats présentés. Ces fichiers sont disponibles sur le site de données ouvertes de la DREES.
Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques"




+