1ºAnne Dumont les khazars ou les nords africains dont les ancêtres se sont convertis au judaïsme il y a qlq siècles n'ont rien à revendiquer sur la terre des palestiniens, qui sont les véritables autochtones de ces terres, et qui ont simplement adopté la langue arabe. Ils ne sont que les descendants des anciens habitants de ces terres.
J'espère quant à vous que vous avez d'autres arguments à opposer pour défendre la dernière colonisation de notre époque que "terroristes islamistes". L'olp était laïc et traité de la même façon, ce ne sont que des arguments foireux pour défendre l'injustifiable ;)
2ºElie Maimon -Le Golan est un territoire occupé et annexé : “habitants arabes en sont satisfaits “ ..Israël est en mission salvatrices ? Et ne fait PAS partie du territoire d’Israel défini en 48.
- La Cisjordanie est un Territoire palestinien occupé depuis 67 avec l’implantation des colonies juives illégales au regard du droit internationale. Les accords d’Oslo entérine l’autonomie de l’autorité Palestinienne pour la Cisjordanie et à l’issu d’une transition de 5 ans devait exister une État Palestinien. La zone C qui représente 60% du territoire devaient être converties en zones A et B.
Donc, Prétendre que c’est un territoire sans statut est hypocrite et intellectuellement vil.
Le sionisme est le synonyme de colonialisme. Point barre !
3ºAudrey Jean-louis
Le sionisme aura tout son sens original tant qu'il y aura des personnes ou des pays qui s'activeront à attaquer Israël ou à vouloir la détruire. Israël aurait pu être un état colonial si elle avait attaqué ses voisins pour leur prendre des territoires, ce qui n'a jamais été le cas. C'est même le contraire qui est arrivé par exemple à Gaza en 2005 où Israël a expulsé 8000 juifs pour donner une chance à la paix. La suite, on la connaît. Israël s'était aussi retiré du Sinaï pour la paix avec l'Égypte et de la zone A de l'ex-Cisjordanie. Donc, Israël n'a vraiment aucun rapport objectif avec un état colonial.
Israël est un état démocratique, ce ne sont pas une "poignée de juifs" qui décident de la politique israélienne, tout comme ce ne sont pas des "poignées de français" d'extrême-gauche ou d'extrême-droite qui font la politique française.
4ºEn fait quand tu lit la présentation, y a déjà une erreur.
Se divisent en 2 groupes opposés
Antisionistes dune part
Et ceux qui insistent sur la lutte contre l'antisémitisme d'autre part...
C'est quoi ce raccourci débile boite a commentaires raz du plancher ?
Les 2 luttent contre l'antisémitisme.
En dehors des groupes spécifiques .
Il y a des courants avec influence religieuse n'y a pas qu'un courant de pensée ! Minimum 2.
Le premier étant une branche "réformée " de la religion hébraïque datant du début 20ème siècle né dans les pays de l'est.
Le second dans la continuité seculaire
Tant qu'à parler faut être précis !
Y a les religieux pour la politique pro-sioniste a l'œuvre en Israël depuis avant la guerre de 40. Et les religieux qui ne partagent pas cette ideologie qui seraient en majorité aux États-Unis .
Suffit juste de se renseigner ailleurs que dans les réseaux sociaux !
5ºAudrey Jean-louis
A la suite de la guerre des 6 jours, guerre déclarée et perdue par les pays arabes:
- l'Égypte accepte la paix contre les territoires et reçoit le Sinaï, territoire 4 fois plus grand qu'Israël
- la Syrie refuse toute paix avec Israël et Israël annexe le Golan. Les habitants arabes du Golan (principalement druzes) en sont très satisfaits et encore plus après la guerre civile en Syrie
- la Jordanie abandone les territoires à l'ouest du Jourdain en 1988, décision entérinée avec l'accord de paix israélo-jordanien.
- Israël annexe la partie Est de Jérusalem. Je rappelle que Jérusalem n'a jamais été la capitale d'aucun pays arabe ou musulman et n'a jamais été sous souveraineté palestinienne
- Israël n'a pas annexé un seul cm2 de l'ex-Cisjordanie qui reste donc encore aujourd'hui un territoire sans aucune juridiction étatique (ni israélienne, ni jordanienne, ni palestinienne). C'est un territoire disputé dont le devenir sera défini par des accords bilatéraux. Pour le moment, ce sont les accords d'Oslo qui définissent les zones sous contrôle israélien ou palestinien.
- Israël a donné Gaza en 2005 dans un espoir de paix
6ºAudrey Jean-louis
Faux!
L'ex-Cisjordanie n'est pas un territoire palestinien pour la simple raison qu'il ne l'a jamais été, ni en 1948 ni en 1967. Les premiers et seuls territoires palestiniens sont ceux qu'Israël leurs a donnés dans les accords d'Oslo (zone A).
Les accords d'Oslo devaient ouvrir des négociations. Ces accords n'ont jamais défini à l'avance quels seraient les résultats de ces négociations. Les accords d'Oslo ont capoté à cause des kamikazes de Arafat (bien avant l'assassinat de Rabin). Aussi bien Arafat (avec Ehud Barak et Clinton) que Abbas (avec Olmert ou plus tard avec Trump) ont refusé tout accord qui prévoyait pourtant un état palestinien sur 97% de l'ex-Cisjordanie. Accepter un accord serait accepter l'existence d'Israël.
Je confirme donc: l'ex-Cisjordanie est un territoire juridiquement disputé qui, excepté la zone A, n'a jamais été, à aucun moment de l'histoire, sous souveraineté ou juridiction palestinienne.
Tordre l'histoire pour le plaisir de critiquer Israël ne fera pas avancer la paix.
7ºSherine Dbz Israël
Est un pays légitime et reconnu
Israël est en guerre
Guerre déclenchee par des terroristes islamistes
La Palestine s’ appelait Judee et n'était sûrement pas une terre arabe. Donc pas de colonisation mais un retour aux sources.
Elle a été colonisée par les arabes et les ottomans .
La présence juive a été continue
1% de l’ empire ottoman est devenu Israël …
99% des états arabos musulmans qui n'ont jamais assez.
Une terre, celle d'Israël où vivent 22% d’ arabes … quand Gaza et les pays arabes alentour sont judenrein et quand dans chaque pays musulman vivent 98% d’ une seule et même religion.
J'espère que vous avez un vie à part Israël et les juifs !
8ºThe Washington Post
Deux générations, deux récits
Chaque tranche d’âge a une « mémoire générationnelle » différente d’Israël, a déclaré Dov Waxman, directeur du Centre Younes et Soraya Nazarian d’études israéliennes de l’UCLA. Les croyances sur le monde ont tendance à se former à la fin de l’adolescence et au début de la vingtaine et ne changent souvent pas, a-t-il déclaré.
Les générations plus âgées, avec un sens plus viscéral de l'Holocauste, ont tendance à considérer Israël comme un refuge vital pour les Juifs, a-t-il déclaré, et à voir son histoire comme celle d'un peuple retournant en sécurité dans sa patrie après avoir vécu 2 000 ans comme un peuple dispersé. diaspora confrontée à des persécutions persistantes.
Mais au moment où les millennials ont commencé à comprendre les événements mondiaux, la violence de la deuxième Intifada avait pris fin au milieu des années 2000 avec la construction de murs et de barrières renforcés entre Israël et la Cisjordanie, puis avec Gaza. Cette génération a formé son idée d’Israël à partir de rapports faisant état de Palestiniens privés d’accès à l’eau , à la liberté de mouvement et à des procès équitables , sous le contrôle militaire de ce qui était alors une puissance nucléaire relativement riche .
9ºClaude Nandrin
Nous sommes en 2024 !!
The Washington Post
Deux générations, deux récits
Chaque tranche d’âge a une « mémoire générationnelle » différente d’Israël, a déclaré Dov Waxman, directeur du Centre Younes et Soraya Nazarian d’études israéliennes de l’UCLA. Les croyances sur le monde ont tendance à se former à la fin de l’adolescence et au début de la vingtaine et ne changent souvent pas, a-t-il déclaré.
Les générations plus âgées, avec un sens plus viscéral de l'Holocauste, ont tendance à considérer Israël comme un refuge vital pour les Juifs, a-t-il déclaré, et à voir son histoire comme celle d'un peuple retournant en sécurité dans sa patrie après avoir vécu 2 000 ans comme un peuple dispersé. diaspora confrontée à des persécutions persistantes.
Mais au moment où les millennials ont commencé à comprendre les événements mondiaux, la violence de la deuxième Intifada avait pris fin au milieu des années 2000 avec la construction de murs et de barrières renforcés entre Israël et la Cisjordanie, puis avec Gaza. Cette génération a formé son idée d’Israël à partir de rapports faisant état de Palestiniens privés d’accès à l’eau , à la liberté de mouvement et à des procès équitables , sous le contrôle militaire de ce qui était alors une puissance nucléaire relativement riche .
10ºStrd Vn
Bla bla bla
"Ce qui se passe dans la bande de Gaza n'est pas une guerre, c'est un génocide"
"Ce n'est pas une guerre de soldats contre des soldats. C'est une guerre entre une armée hautement préparée et des femmes et des enfants"
Lula da Silva
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Lors d'un dîner à l'Elysée, l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani, a dénoncé pour sa part un "génocide du peuple palestinien", avec des "déplacements forcés" et des "bombardements sauvages". Emmanuel Macron, lui, a rappelé que la libération des otages israéliens était une "priorité" absolue.
France Télévision, le 28/2/2024
Guerre entre Israël et le Hamas : la France et le Qatar appellent à trouver "très rapidement un cessez-le-feu"