1ºJane Doee La création d’une chaîne de télévision, que ce soit sur la TNT, ou sur tout réseau de communications électroniques (satellite, câble, fibre, internet…), s’appuie sur un certain nombre de démarches à effectuer auprès de l'Arcom, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
Des obligations sont également à respecter pour ne pas s’exposer à des sanctions, et cela tant pour les chaînes éditées en France, que pour celles initiées à l’étranger, en Europe et ailleurs, et disponibles en France.
Les services et les options de la télévision évoluent cependant chaque jour, et l'Arcom gère également des expérimentations pour prévoir la télévision de demain.
Les appels à candidatures pour la plateforme TNT
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique a pour mission, selon la loi du 30 septembre 1986(Nouvelle fenêtre), de :
autoriser les éditeurs publics comme privés à utiliser la ressource radioélectrique ;
conventionner les éditeurs (hors secteur public pour la TNT) ;
gérer les multiplex.
L'Arcom délivre pour cela des autorisations d'émettre aux télévisions privées diffusées par voie hertzienne terrestre (TNT), après une procédure d’appels aux candidatures.
La délivrance de ces autorisations donne lieu à la conclusion d'une convention.
2ºPol Auchon c est le public qui devrait decidé si un media fonctionne, l ideal serait qu un media soit composé d organes indépendants les uns des autres, forcés par une rédaction cosmopolites, multiconfessionelles et incluant un maximum de bords politiques, à chercher à informer au mieux la population, plutot que de l orienter dans le sens du patron du média.
L avis d'un journaliste ne devrait pas entrer en compte plus que celui d un citoyen lambda, il n est expert en rien et meme s il l etait, ce n est pas son rôle que de le donner.
La presse est sensé être un personnage politique centrale, un contre pouvoir objectif ne travaillant qu à chercher le vrai et le faux, les informations internationnales, economique, militaire, sportives, culturelles, ce qui marche, ce qui ne marche pas et enfin d éclairer des citoyens qui veulent que leur pays aille dans le bon sens.
Un pouvoir, non pas au dessus de la mêlée, comme le politique devrait etre, mais en plein centre de la mêlée, prêt à recceuilir les idées tant qu elles sont bonnes et utiles, peu importe d où elles viennent.
Ceci étant dit, étant donné que de nos jours ce n est plus possible, je ne vois que le fait d'exposer, même brièvement, les differents avis au sein d un même article, afin que les multiples prises de positions, entre les forces politiques soient claires et délimitées faisant que le " en meme temps " de certains politiciens sans âmes ni convictions autres que faire du blé pour l après soit impossible.
Reinstaurer le débat au centre de l information, mais pas de débats oraux stériles car chacuns inaudibles et campés sur leurs positions ( positions dictées tour les matins par le chef de parti ) mais plutôt des débats préparés et organisés laissant à chacun le temps de réfléchir et travailler ses réponses mais plutôt à l écrit qu à l orale, comme une discussion via des lettres postales, quitte à ce que ce soit lu ensuite, dans cette société qui ne prend plus le temps pour rien .
3ºLê Minh Tran Van Allez de quoi éclairer un peu votre lanterne : " Car si le groupe des Saadé a les moyens de faire ses emplettes dans le monde des médias, s’il a pu racheter au printemps la branche logistique du groupe Bolloré – pour la bagatelle de presque 5 milliards d’euros –, prendre 9 % du capital d’Air France-KLM, racheter la majorité des parts de Colis Privé et monter à 10 % du capital de l’opérateur de satellites stratégiques Eutelsat, ce n’est pas seulement en raison de l’inflation du prix des conteneurs en 2021 et 2022.
La conjoncture d’un commerce international post-Covid en surchauffe lui a certes garanti des superprofits jamais vus : 17,9 milliards de dollars (16,4 milliards d’euros) de bénéfice net en 2021 et 24,9 milliards en 2022 (22,9 milliards d’euros), après 1,7 milliard en 2020 (1,6 milliard d’euros). Mais la bonne fortune de l’armateur s’explique aussi parce que sur ces deux années, il a payé un montant d’impôt ridicule : seulement l’équivalent de 2 % de son résultat avant impôt.
En effet, depuis 2003, les armateurs européens n’ont pas à payer d’impôt sur les sociétés (soit 27,5 % du montant des bénéfices d’une entreprise en 2021, et 25 % en 2022 et 2023). Ils n’ont besoin de s’acquitter que du « droit de tonnage », une modeste taxe forfaitaire sur le fret maritime, indexée sur la capacité de transport des navires de commerce. Une affaire, en somme, même si le bénéfice net de CMA CGM est « tombé » à 3,6 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros) en 2023..." Source : Article Mediapart " BFM TV passe d'un milliardaire a l'autre" ...si ça c'est pas le monde de la finance...c'est sûrement pas celui des Bisounours