1ºSi d'aucun trouve normal qu'être violée, ou porter un enfant condamné a mourrir après avoir vécu quelques semaine nourri par des perfs, tout en étant dans l'incapacité de dire a quel degré de l'échelle de la douleur est sa souffrance ce sera leur choix si cela leur arrivait.
L'avortement n'est pas un moyen de contraception mais un recours .
Faut pas se leurrer, ceux qui sont contre tout en imposant une interdiction, n'accepteront aucune raison, ni l'agression sexuelles ni une pathologie de l'enfant, ni le risques de décès de la mère ne seront un argument valable pour interrompre une grossesse.
Ensuite, on souhaiterait retourner a l'époque ou la femme devait subir des grossesses non désirées par elle mais imposée par un homme ou une société ? Parce que c'est là ou ça veut ramener les choses sous couvert de droit a la vie etc.... le regime afghan enrobé de "démocratie " le voile en moins