1ºMika Pern si, si, c'est tout à fait possible.
Un milliardaire ne peut pas imposer son opinion simplement en acquérant un média. Après tout, rien n'oblige à suivre ce média, et aucune loi n'empêche de critiquer ce média non plus (tant que ce n'est pas de la diffamation).
Au fait, je n'ai pas une opinion positive en faveur du milliardaire qui a fait virer cette personne (et certainement aucune sympathie pour l'extrême droite non plus). Mais si on commence à discriminer tel ou tel milliardaire parce qu'on n'aime pas ses opinions (même si celles ci sont d'extrême droite), alors on tombe dans le piège de la dictature... On ne gagne pas le débat des idées à coup de régulation: c'est en fait le meilleur moyen de le perdre.
2ºThierry Durand le problème est que la presse n'est pas une industrie comme les autres.
Il y a la liberté fondamentale d'entreprendre et la propriété privée, d'une part, et il y a la liberté de la presse (dont l'impartialité - forcément relative mais encadrée par des règles déontologiques - est en danger quand contrôlée par des groupes d'intérêts économiques).
Des individus "de droite" ont longtemps lutté au nom de la démocratie contre le contrôle des médias de presse par les puissances économiques (J.S. Mill ou J. Madison).
Bref, faut arrêter de se voiler la face. Le contrôle des médias, par des milliardaires qu'importe leur projet politique d'influence comme par un État aux velléités propagandiste, est toujours une catastrophe pour l'information des individus et pour une société qui se veut démocratique.
3ºbah c'est normal . tu fais ce que dit ton patron, encore c'est bien, elle a été licensier en bonne et dû forme avec indemnités etc... allez voir dans la fonction publique et les pme si cette délicatesse et pratiquée ;) j'ai vu quelqu'un littéralement puni dans un sous sol a copier des lignes dans un cahier par mon maire !
en plus il n'y a rien de problématique a la base, bien au contraire justement, il a bien fait de licensier cette personne qui pensent décider de qui doit être luou pas.
et les vierges effarouchées, devrait lire plutôt que d'avaler les couleuvres de la diabolisation.
a noter en aparté que tout le monde y compris le monde donne raison a Zemmour depuis quelques semaines :/
4ºEn lisant les commentaires, on comprend que bon nombre de Français n'ont strictement AUCUNE idée de ce qu'est une "entreprise" et encore moins la diriger. Un éditeur de livres, c'est une entreprise avant tout. Et évidemment c'est celui qui a l'entreprise qui prend les décisions. Si "la directrice" ou le directeur n'est pas d'accord.... il/elle peut aller monter sa propre boîte si ça lui chante. Rien ne la retient.
On ne fait pas "mumuse" avec une société qui ne nous appartient pas, c'est la base.
Si on a une vision différente, et qu'on a un poste de direction, on démissionne.
Personne ne se pose la question inverse : ça ne lui a pas posé de problème à cette gentille dame de prendre son GROS salaire tous les mois alors qu'elle était en désaccord avec la direction de la boîte ? Qui arnaque qui....
5ºMika Pern oui, et alors ? En quoi ça viole la liberté d'expression ? Virer un employé suite à un désaccord entre cet employé et les actionnaires n'a rien à voir avec la liberté d'expression, mais simplement l'exercice légal du système capitaliste.
Même si l'employé(e) se fait virer, cette personne continue à jouir de la liberté d'expression, et (en dehors de la diffamation) cette personne peut critiquer l'entreprise en question sans craindre d'être poursuivi(e) en justice.
Par exemple, ce serait exactement la même chose si un employé du journal Libération se faisait virer pour avoir une vision plutôt en ligne avec le Figaro, n'est ce pas ?
6ºGael Cartron Chevènement: Parti socialiste; Arnaud Montebourg: Parti socialiste. A moins que tu démontres que le PS est un parti d’extrême droite… sinon tu as complètement tord.
Le souverainisme consiste à penser que le pouvoir politique doit être dans les mains de l’Etat. Dans une démocratie ça veut dire que le peuple désigne les dirigeants de l’Etat pour le diriger. En somme le peuple décide ce qui est bon pour lui même via des élections.
Si tu n’es pas souverainiste c’est que tu considères que l’Etat ne doit pas avoir ce pouvoir mais qu’il doit être confié à des organisations supranationales (Union Européenne, traité internationaux, entreprises multinationales…). C’est relativement peu compatible avec la démocratie.
7ºMika Pern en effet, mais si on commence à réguler parce qu'on n'aime pas un milliardaire qui a contrôle d'un média, ou irons nous ? Après tout, devrait on réguler un milliardaire d'extrême droite, mais pas un milliardaire de centre droit, de centre gauche ou d'extrême gauche ? Ou est la démarcation ? Et on régule seulement les milliardaires, ou faut il aussi réguler un média détenu par des millionaires ?
De plus, comment définir l'indépendance d'un média qui est déjà privé (c'est-à-dire qui n'est pas détenu par l'Etat) ?
Mes questions sont exactement les mêmes que je pose aux Républicains aux Etats Unis qui veulent réguler Facebook parce qu'ils pensent que Facebook est contre la droite américaine... Facebook est après tout une entreprise privée, comme l'est X (Twitter) d'ailleurs que nombre de démocrates américains dénoncent depuis l'acquisition par un autre milliardaire.
8ºThierry Durand des milliardaires d'extrême-gauche à la tête de médias, j'en ignorais l'existence.
Ce qu'il y a de bien avec le Monde c'est que l'extreme-gauche le qualifie de droite, la droite et l'extrême-droite le qualifie de gauche...
Il est vrai que la ligne éditoriale tient plus de la sociale-démocratie mais le qualifier de journal c'est aller loin. Ce n'est pas l'Humanité ou le Monde diplomatique.
Aujourd'hui ce sont des personnalités aux projets d'extrême-droite ou de droite conservatrice qui prédatent les médias. Cela est flagrant quand on voit suite à un rachat par ces personnalités ces médias d'information devenir rapidement des médias d'opinions qui relayent une idéologie très marquée et peu sourcée.
La guerre culturelle est largement menée par la droite conservatrice depuis 10 ans.
La gauche qui semblait l'avoir emporté dans les années 70-80, n'est plus réellement armée culturellement pour lutter face à ces percées.
On peut le déplorer ou s'en féliciter.
Mais il faut arrêter de répandre l'idée selon laquelle ce serait la "bien-pensance" de gauche qui serait majoritaire dans l'espace public médiatique. Ce n'est plus le cas depuis longtemps
9ºNathalie Vuarchex bolloret achete des medias pour diffuser de plus en plus ses idées. Au travers de ses achats ils imposent des idées qui ne sont pas au pro rata de la population mais qui dépendent de sa puissance financière. Plus de 70 % de la population n est pas d extrême droite et il normal que la majorité ne le soit pas. En plus on peut se poser des questions par rapport à ces médias régulièrement condamné par l arcom. Ils s agit de media d opinion et non pas d information contribuant à nourrir les divisions et à pousser une certaine histerie qu on ressent bien en vous lisant. Tout le monde est soit d extrême droite ou de gauche ce qui est ridicule. Tout cela est le résultat de ces médias bolloret.
10ºAhmed Habib Si seulement nous pouvions trouver le point commun entre toutes ces attaques terroristes...
1995: Khaled KELKAL
1995: Boualem BENSAID
1995: Karim BOUASSA
1995: Abdelkader BOUHADJAR
1995: Abdelkader NAMERI
1995: Smain Alt Ali BELKACEM
1995: Nasserdine SLIMANI
1995: Rachid RAMDA
1995: Safé BOURADA
2012: Mohamed MERAH
2013: Abdelkarim DEKHAR
2014: Mehdi NEMMOUCHE
2014: Bilal NZOHABONAYO
2015: Cherif KOUACHI
2015: Sald KOUACHI
2015: Amedy COULIBALY
2015: Sid Ahmed GHLAM
2015: Yassin SALI
2015: Ayoub EL-KHAZZANI
2015: Bilal HADFI
2015: Brahim ABDELSLAM
2015: Salah ABDELSLAM
2015: Omar MOSTEFA
2015: Samy AMIMOUR
2015: Abdelhamid ABBAOUD
2015: Mohamed ABRINI
2015: Chakib AKROUH
2016: Larossi ABBALLA
2016: Mohamed LAHOUAIEI
2015: Adel KERMICHE
2016: Abdel Malik PETITJEAN
2016: Tarek BELGACEM
2017: Abdallah EL-HAMAHMY
2017: Zyed BEN BELGACEM
2017: Karim CHEURFI
2017: Hamou BENLATRECHE
2017: Ahmed HANACHI
2017: Farrid IKKEN
2017: Adam DJAZIRI
2018: Radouane LAKDIM
2018: Khamzat AZIMOV
2018: Cherif CHEKATT
2019: Hanane ABOULHANA
2019: Mickaël HARPON
2020: Nathan "C"
2020: Abdallah AHMED-OSMAN
2020: Youssef "T"
2020: Hassan "A"
2020: Abdoullah ANZOROV
2020: Brahim AQUISSAOUI
2021: Djamel G.