L’armée israélienne dit avoir tué dix « terroristes » lors d’un raid en Cisjordanie occupée

Le ministère de la santé de l’Autorité palestinienne fait, quant à lui, état de plusieurs tués et accuse l’armée israélienne d’empêcher les équipes médicales de porter secours aux blessés. Un responsable local parle d’une opération « sans précédent ».

           

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Les messianiques et l'extrême droite instrumentalisent les terroristes, en inventent ou en creent selon les besoins !
C'est simple tu résiste aux mecs qui veulent te voler ta maison, qui detruisent tes plantations ... tu es un terroriste.
Sinon ils assument :
Bezalel Smotrich, dirigeant du parti Mafdal-Sionisme religieux, avait notamment déclaré, peu de temps avant l’attaque terroriste du 7 octobre dernier, que « Le Hamas est notre chance » – considérant qu’un renforcement de l’entité islamiste radicale mettrait à mal tout processus de paix, et empêcherait donc l’entente et l’organisation des Palestiniens en vue de la formation d’un État. Itamar Ben-Gvir est quant à lui la figure paradigmatique de ce que la philosophe et sociologue franco-israélienne Eva Illouz appelle un « fascisme juif ».
Philomag


Thibault Le Bellec Expert autoproclamé ? Le terme de « Nakba » (littéralement « catastrophe » en arabe) est utilisé à l’origine en 1948 par l’historien et diplomate syrien Constantin Zureik pour qualifier l’ampleur de la défaite des pays arabes lors de leur première guerre face à Israël. Il a été ensuite progressivement associé à l’exode de la population arabe de Palestine en 1948-1949, plus qu’à la guerre elle-même. Un large consensus existe aujourd’hui, parmi les historiens de toute nationalité, pour affirmer que ces départs ont été très largement contraints. L’épisode (et le terme lui-même) est toutefois extrêmement clivant dans le monde politique israélien et demeure un enjeu de mémoire entre Palestiniens et Israéliens. Les « Arabes israéliens » (ou « Palestiniens d’Israël ») constituent actuellement 20 % de la population de l’État d’Israël. Les discriminations structurelles dont ils ont longtemps souffert sont désormais beaucoup moins importantes, mais persiste chez une large partie d’entre eux un sentiment d’une citoyenneté de seconde zone. L’adoption en 2018 d’une loi fondamentale (constitutionnelle) proclamant Israël « État-nation du peuple juif » plutôt qu’« État juif et démocratique » a renforcé les inquiétudes de la minorité arabe.


Thierry Jacob En 1947, cette nouvelle organisation internationale propose un plan de partage du territoire. Un État arabe et un État juif coexisteraient côte à côte tandis que la ville de Jérusalem, à l’importance symbolique particulièrement forte et revendiquée par les deux parties, deviendrait une zone internationale. Le plan de partage est accepté par la majorité des organisations sionistes mais rejeté par les Arabes. Les Britanniques quittent néanmoins le territoire et David Ben Gourion proclame l’indépendance d’Israël le 15 mai 1948.
En définitive, si les forces arabes progressent dans un premier temps, la nouvelle armée israélienne sort finalement victorieuse de la guerre en janvier 1949. Israël étend considérablement son territoire par rapport à ce qui était prévu dans le plan de partage de l’ONU tandis qu’environ 750 000 Palestiniens sont contraints au départ pendant cette période (c'est ce que les Palestiniens appelleront bientôt la Nakba, désastre en arabe).


israël est une menace pour la paix mondiale ! partout ou elle passe, plus rien ne repousse ! s'imaginer un seul instant que l'état colonial vivrait en paix et que le peuple palestinien se laisserait déposséder de sa terre en leur offrant des fleurs ! l'entité coloniale se trompe de cible, c'est avec Hitler et l'oxydent qu'elle auraient du se comporter ainsi...... mais voilà, c'est plus facile d'aller assassiner des milliers d'enfants que de s'en prendre à plus fort ! En Palestine occupée, c'est le 7 octobre depuis que l'état colonial a vu le jour ! Pas d'état palestinien, pas de paix !


Marie-Paule Martin effectivement l’armée israélienne gagne cette guerre mais l’Egypte occupera la bande de Gaza et la Jordanie occupera le territoire qu’elle baptisera « Cisjordanie », nom qui n’a rien à voir avec la Palestine.
Les jordaniens ont expulsé, quand ils leur ont laissé la vie sauve, tous les juifs qui habitaient cette région et ont détruit une cinquantaine de synagogues.
Pendant ces 2 décennies d’occupation - de 1948 à 1967 -, il n’y a eu absolument aucune revendication territoriale palestinienne ni à l’égard de la Jordanie ni à l’égard de l’Egypte.
Une explication à ce silence?

Plus de 20 états arabo musulmans ont été créés sur l’ancien empire ottoman, comme par exemple, la Jordanie créée en 1946 sur 77% de la Palestine mandataire britannique.
Le partage entre un état juif et un état arabe évoqué dans la résolution 181 de 1947 ne concernait donc que les 23% du territoire restant.


Laurent Guichard
Vous faites diversion.
C’est inutile de me réciter votre propagande.
J’ai dans ma bibliothèque tout ce qu’il faut.
Je vous conseille :

Henry Laurens, historien et universitaire français, spécialiste du monde arabe et professeur au Collège de France, où il occupe la chaire d'histoire contemporaine du monde arabe depuis 2003.

Le Retour des exilés, la lutte pour la Palestine de 1869 à 1997, Paris, éd. Robert Laffont, 1998.

La Question de Palestine, Paris, éd. Fayard, 1999-2015, 5 volumes

1999-2015, 5 volumes :
1. L'invention de la Terre sainte (1799-1922), t. I, Paris, Fayard,1999, 722 p.
2. Une mission sacrée de civilisation (1922-1947), t. II, Paris, Fayard,2002, 704 p.
3. L'accomplissement des prophéties (1947-1967), t. III, Paris, Fayard, 2007, 838 p.
4. Le rameau d'olivier et le fusil du combattant (1967-1982), t. IV, Paris, Fayard, 2011, 896 p.
6. La paix impossible (1982-2001), t. V, Paris, Fayard, 2015, 888 p.


Martine Cohen Borenstein L’historien Tal Bruttmann, spécialiste de la Shoah et de l’antisémitisme estime, dans un entretien au « Monde », que l’attaque perpétrée par le Hamas le 7 octobre contre Israël n’est ni un pogrom ni un génocide mais un massacre de masse, et il met en garde contre les analogies avec le nazisme. Ce terme russe désigne non pas les crimes de masse contre les juifs, mais la destruction des biens qui sont en leur possession, accompagnée de violences contre les personnes. Ce qui caractérise le pogrom, c’est le fait qu’une majorité, excitée, voire incitée, par le pouvoir en place, s’attaque violemment à une minorité qui vit en son sein.


Elie Maimon oui donc tu confirmes ton biais de compréhension d’un conflit par le fait que tu sois israélien que tu confonds avec une légitimité.

Intéressant tout cela , j’espère que tu ne fais pas de la physique de la même manière car tes expériences risque d’être sacrément faussées quand tu fais fit de tel biais de compréhension.

C’est un peu comme expliqué à un allemand en 38 que H. mènera son pays à sa perte et en marquant l’histoire de la pire des manières … pour lui à l’époque c’était parfaitement le contraire vu la propagande et l’aveuglement qu’ont lui servait matin midi et soir .


Bousselham Achraf Mohamed Je te laisse me répondre. Je suis limité à 3000 ans, voir à Adam et Ève !
Mais ce qui est certain, c’est que sur ces 3000 ans d’histoire, il n’y a jamais eu d’état palestinien !

Falsifiée?!
Pour ne prendre que l’esplanade, colonisee par une mosquée.
L’histoire y commence pour l’islam en 600 après j-c.

Pour y avoir une esplanade, archéologiquement parlant, il faut bien des fondations!

Ces fondations ont une histoire antérieure à l’esplanade, antérieure à l’islam et qui elle, n’est pas falsifiée et racontée dans la bible et la Torah!

L’histoire de Jérusalem, de ses temples juifs, de jesus le juif devenu Christ , de cette esplanade construite par Herodes pour y voir un temple juif et non une mosquée !


10ºAudrey Jean-louis la
Cisjordanie a effectivement été divisée en 3 zones en attendant un règlement plus global.
Les innombrables attentats perpétrés sur le sol israélien ont tué dans l’œuf la poursuite de ces accords.
Pour votre complète information, sachez que lors des accords d’Oslo II, Arafat a refusé 93% de la Cisjordanie, l’intégralité de la bande de Gaza, plus Jérusalem-Est comme capitale, ce qui lui a valu un bannissement à vie des États Unis et de l’Europe (sauf la France, c’était Chirac qui, bêtement, l’avait incité à refuser, croyant qu’il pourrait obtenir plus).
Plus tard, à Charm El Cheikh devant un Hosni Moubarak aussi stupéfait que furieux, Mahmoud Abbas a refusé 98% de la Cisjordanie, l’intégralité de la bande de Gaza, Jérusalem-Est comme capitale, le retour de 80 000 réfugiés, et une compensation financière pour tous les autres réfugiés.
Je ne devine pas l’avenir et j’ignore si ce type de propositions se représentera un jour.
En tout état de cause, elle ne semble pas être dans l’actualité.

On finit par s’interroger sur le point de savoir si les dirigeants palestiniens « modérés » veulent vraiment leur état. En effet, ils ne semblent pas prêts à renoncer à la manne financière des aides internationales (les plus importantes au monde) dont une très grande partie termine directement au crédit de leurs comptes offshore.
Avez-vous entendu parler du scandale des Panama Papers ?
Avez-vous une idée du montant faramineux de l’héritage de mme veuve Arafat et de sa fille? Ah c’est sûr, elles peuvent faire les belles (dans la mesure de leur possible physique, bien entendu) dans les 5* des capitales européennes… aux dépens de leur peuple.
Sans bien sûr parler des dirigeants du Hamas, jihad islamique et consorts qui eux, voudraient un état à la place d’Israel, et non aux côtés de.

Quant aux pays arabes qui ont signé les accords d’Abraham, ils ont fini par comprendre qu’ils avaient bien plus à gagner à échanger avec Israël qu’à se faire racketter par Mahmoud Abbas et sa clique…
Mais tout ça, c’était avant le 7 octobre, même s’ils ont fait savoir que malgré la guerre, ils ne souhaitaient pas revenir sur ces accords.
L’Arabie Saoudite a également fait savoir qu’elle était toujours intéressée… ça, ça va donner envie au Hamas de ne pas rendre les otages, pour avoir l’occasion de continuer, chacun ayant bien compris que la seule motivation du Hamas à ce 7 octobre, c’était de porter un coup d’arrêt à ces accords de normalisation.




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