Astrid Chevance, psychiatre : « Impliquer les patients dans la recherche sur la dépression n’est pas un impératif éthique, c’est un atout scientifique »

A l’occasion du début de deux études sur une cohorte de personnes avec une dépression, l’une portant sur l’annonce du diagnostic, l’autre sur le handicap lié à cette maladie, la psychiatre Astrid Chevance explique les enjeux de ces recherches originales, où les témoignages des patients ont un rôle majeur.

           

https://www.facebook.com/lemonde.fr/posts/818331263661504

Laurence Orsini Auteur Hé oui, le patient, autrefois simple spectateur, devient désormais le chef d'orchestre de sa propre symphonie thérapeutique. Fini le temps où il n'était qu'une note sur la partition médicale; aujourd'hui, il compose sa mélodie de soins avec l'assurance d'un maestro. Dans cette nouvelle ère de la médecine, où le dialogue remplace le monologue, le patient-acteur prend les rênes de son bien-être, transformant chaque consultation en une collaboration harmonieuse. Et dans le cas délicat de la dépression, cette approche centrée sur le patient s'avère être un baume pour l'âme, une mélodie apaisante qui résonne avec espoir dans les couloirs des hôpitaux. Alors, que la santé soit une danse, et que chaque patient y trouve son pas !


il faut se garder de généraliser, tous les psychiatres ne sont pas en mode " Nous affons les moyens de fous faire prendre des antidépresseurs !", il y en a, même s'ils sont rares, qui ont une vision plus large et ont une approche synergique de thérapeutiques médicales, naturelles, diététiques et comportementales qui font du très bon travail avec de très bons résultats. Le problème avec la dépression c'est le temps de réparation des bobos intérieurs qui est long mais une fois accepté cette donnée c'est la voie vers un mieux être et un renouveau, "la dépression c'est une mue"




+