1ºBon ben en attendant ceux qui se disent victime et sont repris par les media d'état et le gouvernement
Ceyx font des stat sur 500 personnes, dont on ignore le type de question, en arguant que la france est un territoire de raciste anti juif sauf erreur d'interprétation des infos des
associations étudiants juifs
" sentiment d’insécurité et blessure psychologique en tant que juif " peut-être ?
Après je ne critique pas !
Maintenant que les autres associations des étudiants puissent avancer les même arguments de sensations et soient entendu de la même manière et relayé ce seratop !
2ºDaruuis Mendoza Il n'y a pas plus de génocide à gaza qu'il n'y en avait à Berlin en 45 au moment des bombardements alliés ou bien plus récemment à Mossoul ou Raqa lors des offensives kurdes et de la coalition contre les forces de daech qui tenaient la ville, même s'il y eut bcp de morts parmi les populations civiles. Mais n'est-ce pas mélanchon le petit timonnier éclairé qui relativisait en 2015 sur public sénat les offensives de ce genre comme la russie l'avait fait à grozny sur l'air de "dans toutes les guerres y a de smorts c'est inévitable'"...mais quand israel se défend face à un groupe terroriste qui a perpétré des pogromes sur le sol israélien le 07/10, là ca devient un "génocide" ben tiens
3ºDaruuis Mendoza Ce qui est comique, c'est l'indignation des héritiers de ceux qui soutiennent les lois de censure depuis 1972 avec la loi Pleven, et qui récemment se sont félicités du délit d'entrave concernant l'avortement!! Ton courant de pensée s'assoit sur les persécutions des chrétiens en terre d'Islam quand ils n'applaudissent pas. Quant à ma position sur le conflit, Elle est très clair. Les juifs n'ont pas la justification historique pour occuper les territoires où ils sont. Je n'apporte jamais aucun soutien à l'extrême gauche qui est selon moi une idéologie abjecte, ignoble et totalitaire par essence. J'apporte mon soutien à Israël sans réserves au nom des intérêts occidentaux
4ºExtraits
Les étudiants d’un nombre croissant d’universités américaines se rassemblent dans des campements de protestation avec une demande unifiée de la part de leurs écoles : cesser de faire des affaires avec Israël – ou avec toute entreprise qui soutient sa guerre en cours à Gaza .
Cette demande trouve ses racines dans le mouvement de Boycott, Désinvestissement et Sanctions, une campagne vieille de plusieurs décennies contre la politique israélienne envers les Palestiniens. Le mouvement a pris une nouvelle force alors que la guerre entre Israël et le Hamas dépasse le cap des six mois et que les récits de souffrances à Gaza ont déclenché des appels internationaux à un cessez-le-feu.
QUE VEULENT VOIR SE PRODUIRE LES ÉTUDIANTS ?
Les étudiants appellent les universités à se séparer de toute entreprise qui soutient les efforts militaires israéliens à Gaza – et dans certains cas d’Israël lui-même.
Les manifestations sur de nombreux campus ont été orchestrées par des coalitions de groupes étudiants , comprenant souvent des sections locales d'organisations telles que les Étudiants pour la justice en Palestine et la Voix juive pour la paix. Ils se regroupent en groupes de coordination, tels que la Coalition contre l'apartheid du MIT et la Coalition Tahrir de l'Université du Michigan.
Les gouvernements étudiants de certaines universités ont adopté ces dernières semaines des résolutions appelant à la fin des investissements et des partenariats universitaires avec Israël. De tels projets de loi ont été adoptés par les étudiants de Columbia, de Harvard Law, de Rutgers et de l’American University.
Certains étudiants du MIT ont publié les noms de plusieurs chercheurs qui acceptent de l'argent du ministère israélien de la Défense pour des projets qui, selon les étudiants, pourraient aider à la navigation des drones et à la protection contre les missiles. Au total, disent les étudiants pro-palestiniens, le MIT a accepté plus de 11 millions de dollars du ministère de la Défense au cours de la dernière décennie.
Les responsables du MIT n'ont pas répondu à une demande de commentaires envoyée par courrier électronique.
« Le MIT est directement complice de tout cela », a déclaré Quinn Perian, étudiant en deuxième année, leader d’un groupe d’étudiants juifs qui appelle à un cessez-le-feu dans la guerre entre Israël et le Hamas. Il a ajouté qu'il existe une tendance croissante à tenir les universités responsables de tout rôle qu'elles jouent dans le soutien à l'armée israélienne.
« Nous tirons tous du même feu », a-t-il déclaré. "Ils nous obligent, en tant qu'étudiants, à être complices de ce génocide."
AP News
Students protesting on campuses across US ask colleges to cut investments supporting Israel