1ºLê Minh Tran Van au contraire je comprends que trop bien. Je ne suis pas là pour dire les patrons ce sont tous des méchants. Mais il y a un fait. Il y a des milliards d'aide dont une grande partie en subventions (donc des versements pas des allègements). Versés dans le but de soutenir l'économie. Dont on n'a aucune preuve qu'ils ont servis à cela. Et des licenciements qui tendent à prouver le contraire. Moi si je touche une aide de la caf, mais que j'ai menti pour la percevoir. On m'appellerait fraudeur. Et ce serait normal. Pourquoi une grande société ne serait pas soumise à cette même intransigeance puisqu'elle utilise elle aussi NOTRE argent (dans de proportions énormes qui augmentent chaque année). L'entreprise citée par la personne plus haut n'est qu'une seules de celles visées par mes propos.
2ºMatthieu Roudaut Matthieu Roudaut Ah comme comme rendre l'eau et l'électricité gratuite, Augmenter le SMIC à 1600€ net, bloquer les prix des biens de première nécessité, garantir le droit à un compte bancaire (alors que c'est déjà la cas), interdire les coupures d'eau (alors que c'est déjà la cas), abrogation de la réforme des retraites, repousser de deux ans le remboursement des PGE, relocaliser la production, passage à 32 heures dans les secteurs pénibles...?
Le seul que j'aimais bien à LFI c'était Ruffin mais il est allé voir ailleurs.
Maintenant dites moi, sans trembler du menton, que vous croyez réellement à ce programme et surtout comment il va être financé?
Mélenchon est le porte étendard et le leader de la France insoumise, c'est donc normal de le voir comme le représentant d'un parti.
Je vous invite à lire le livre La Meute....
C'est du populisme pur et simple, et leur programme ressemble étrangement à celui de ceux du camp d'en face, immigration mise à part.
Sinon je vous signale que pour l'instant votre seul argument était"ça sera moins pire"....
3ºD'un côté on a un ministre qui menace et mobilise ses soldats et de l'autre on a un rapport de la commission d'enquête sénatoriale rendu en juillet 2025. Totalement ignoré dans le débat public. Qui explique qu'on a grandement aidé une liste de grandes entreprises, mais qu'elles on continué à licencier, tout en faisant du bénéfice... et que nous sommes dans l'incapacité de tracer l'usage de ces aides... (On parle de quelques 250 milliards...)... Mais on continue à nous laisser croire que c'est le démunis, le malade, le retraité et le français qui ne travaille pas assez qui sont les problèmes.
4ºLê Minh Tran Van À juste titre, votre interlocuteur n’affirmait en effet qu’une chose : le rapport de la Commission d'enquête "explique qu'on a grandement aidé une liste de grandes entreprises, mais qu'elles ont continué à licencier, tout en faisant du bénéfice... et que nous sommes dans l'incapacité de tracer l'usage de ces aides". Et c’est une pirouette que de questionner, comme vous l’avez fait, que "Si on est incapable de tracer l'usage de ces aides, comment pouvez-vous affirmer qu'on a aidé des grandes entreprises qui ont continué à licencier, tout en faisant du bénéfice ?" Du coup j’ai pris un exemple concret dudit rapport, pour exemplifier où l’on perdait pour de bon la traçabilité. Et là vous rétorquez qu’il suffit alors de "blâmer Arcelor Mittal" et pas les grandes entreprises… alors que dès le début la phrase de Mohamed Zak spécifiait "une liste de grandes entreprises".
Et vous persistez à vouloir lui apprendre le sens des mots ?
5ºLê Minh Tran Van Extrait du rapport de la Commission d'enquête du Sénat (l’absence de traçage est illustrée par le fait que la Commission parvient à établir le montant des aides, mais pas à quoi ont-elles servi) :
« Le groupe ArcelorMittal a annoncé le 23 avril 2025 son intention de mettre en place un PSE qui devrait concerner près de 600 salariés parmi les 15 400 employés en France. Le groupe a versé en moyenne 200 millions d’euros de dividendes chaque année depuis dix ans au niveau mondial, alors qu’il a bénéficié en 2023 en France de 298 millions d’euros d’aides, dont 195 millions d’euros en raison du prix de l’énergie, 41 millions d’euros d’allègements de cotisations sociales et 40 millions d’euros de CIR.»