1ºOn bosse, on galère à boucler nos fins de mois, et malgré ça, tout continue d’augmenter. Le chômage baisse, ok…
Mais ça sert à quoi si les salaires stagnent et que le loyer, la bouffe et l’électricité te bouffent tout ton salaire ?!
Moi je vois ça comme un rappel le boulot seul ne protège pas de la misère.
Et c’est pas de la chance ou de la paresse, c’est juste le système qui marche pas pour la majorité.
Alors oui, ça fout les nerfs, mais plutôt que de gueuler dans le vide, faut pousser pour des vrais changements salaires dignes, aides qui protègent, moins de cadeaux aux riches.
On est pas des numéros, on est des gens, des êtres humains avec cette dignité
2ºCesare Psrv non pas taxe Zucman. Cette taxe est sur la valeur de tous les biens de la personne taxée, y compris sur son et ses usines.
Le ministre de l’industrie a expliqué qui si la personne taxée n’a pas assez de liquidités en banque pour payer la taxe, il arrivait de devoir être obligé de vendre l’outil de travail.
Ayant rencontré Zucman, ce dernier lui aurait dit que « si pas assez devoir être obligé fonds pour payer la taxe, la personne taxée peut payée avec des actions que l’état rachèterait «
Et ça, ce n’est pas possible l’état ne peut pas être actionnaire des entreprises taxées.
3ºJules Vales Quand comprendrez vous que les multinationales françaises sont presque totalement déconnectées de l'économie française? Prenons notre beau porte-étendard LVMH, 92% du chiffre d'affaires est fait à l'étranger et sur les 8% restants une bonne moitié c'est des touristes étrangers dans les boutiques françaises, vous pensez que les dividendes du groupe sortent/vont où? On peut dire la même chose pour l'Oréal, Kering, Michelin, Schneider, Hermes, Air Liquide, Airbus, Sanofi etc etc... C'est chouette l'idéologie dogmatique mais faites un effort pour revenir sur terre... Le travail permet plus de payer les factures? Vous savez que pour un employé, célibataire et sans enfant, qui gagne 2500€/mois APRÈS impôts, un bon salaire mais juste au dessus du salaire médian donc pas non plus extravagant, le coût pour l'entreprise est, hors avantages, de 64000€/an? 57% de la richesse générée par son travail est siphonné par l'État technocratique, ensuite, il peut joyeusement payer 20% de taxes sur les produits courants, 60% de taxes sur le carburant de son véhicule, 22% de taxes sur son gaz domestique, 3 fois 20% de taxes (abonnement, réseau, consommation) sur son électricité, etc etc... Finalement il lui reste combien au bon employé? Visiblement moins de 20% donc p'être entre 15% et 17.5%? Voila le résultat de 50 ans de politique sociale-démocrate... Mon père disait toujours... C'est pas quand on a **** dans le froc qu'il faut serrer les fesses... Vos sempiternelles jérémiades, on peut dire, qu'on les a assez entendues... STOP...
4ºFrance : « Bloquons tout », une mobilisation massive pour exiger le départ de Macron et Lecornu
Ce mercredi 10 septembre 2025, la France a été secouée par une vague de colère sociale sans précédent. Le mouvement « Bloquons tout », né sur les réseaux sociaux pour s'opposer aux mesures d'austérité du gouvernement Bayrou, a mobilisé des dizaines de milliers de citoyens exaspérés par la politique économique d'Emmanuel Macron et la nomination express de Sébastien Lecornu à Matignon.
Revendications principales :
· Abandon immédiat des mesures d'austérité (coupes budgétaires de 43,8 milliards d'euros, suppression de jours fériés, gel des pensions).
· Démission du gouvernement Lecornu et du président Macron, accusés de mépriser les classes populaires et d'aggraver les inégalités.
· Protection des services publics et justice sociale, face à la hausse des prix et la baisse du pouvoir d'achat.
Chiffres de la mobilisation (selon les organisateurs) :
· Plus de 80 000 jeunes mobilisés selon l'Union étudiante.
· 10 000 manifestants à Strasbourg (CGT), contre 5 000 annoncés par la police.
· 8 000 à Lyon et 6 000 à Montpellier selon les sources préfectorales, mais les organisateurs revendiquent des chiffres bien plus élevés.
· 2 200 à Lorient et 1 500 à Brest, selon les comptages locaux.
Actions et tensions :
· Blocages de routes, gares (Gare du Nord à Paris), lycées et universités.
· Affrontements à Paris, Lyon, Montpellier et Rennes, avec usage de gaz lacrymogène et canons à eau.
· Incendie d'un restaurant à Paris (quartier de Châtelet) et dégradations symboliques (supermarchés, banques).
· Près de 300 interpellations selon le ministère de l'Intérieur, mais les organisateurs dénoncent une répression excessive.
Contexte politique :
La mobilisation s'est intensifiée après la démission de François Bayrou et la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre, perçue comme une « provocation » par les manifestants. La France Insoumise a déposé une motion de censure contre le nouveau gouvernement, tandis que le RN conditionne son soutien à une « rupture » politique.
Malgré un dispositif policier exceptionnel (80 000 forces de l'ordre déployées), le mouvement a montré l'ampleur de la colère sociale. Les manifestants exigent désormais le départ de Macron et de Lecornu, symboles d'une politique jugée injuste et autoritaire. Une nouvelle grève est prévue le 18 septembre, confirmant que la mobilisation ne faiblit pas.
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